En refermant ce dernier tome mes sentiments sont très partagés: j'ai oscillé durant toute la lecture entre l'agacement suscité par la narratrice et un certain plaisir à suivre le devenir des personnages du quartier napolitain décrit par
Elena Ferrante .
C'est surtout à la première partie que je n'ai pas adhéré, lassée par la psychologie et les choix du personnage narrateur. le roman devient finalement intéressant lorsque son titre se justifie et la fin conclut très bien le cycle des 4 tomes en donnant du sens à "L'amie prodigieuse".
Même si des éléments m'ont déplu, la lecture reste facile et l'envie d'avancer dans le roman est bien là.
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