C'est par une belle maîtrise de l'intrigue que
Paul Féval nous entraine dans ce célèbre roman de cape et d'épée. Les scènes très imagées renvoient inévitablement aux adaptations cinématographiques et les bons mots fleurissent dans une langue française depuis bien longtemps, hélas !, perdue.
Quelques expressions désuètes désormais ("la pauvre enfant", "la belle enfant", ...) pourraient chagriner quelque lecteur soucieux de "modernité" ou d'écriture inclusive...
Cette langage française n'a jamais été aussi vivante que lorsque l'on s'entre-tuait dans les auberges, juchés sur des escabelles, alors : A vos rapières !
Commenter  J’apprécie         41