Bon clairement, j'ai acheté Olivia Joules parce que c'était écrit par
Helen Fielding, mais j'étais assez moyennement convaincue par la quatrième de couverture – d'où on passe de journaliste à agent secret ? En tant que future réceptionniste, puis-je devenir apprentie Gisele Bundchen en moins de trente pages ? (Bah quoi, je demande juste)
Et si on est loin du roman de l'année (2010 en l'occurrence), ça reste quand même plutôt pas mal, grâce à un truc tout bête, qui est l'hu-mour. Je me suis assez rapidement lassée de la paranoïa, de l'imagination effectivement galopante de l'héroïne et des rebondissements un peu tirés par les cheveux (j'aime bien quand c'est quand même *un peu* réaliste), mais comme le tout est arrosé d'une généreuse dose d'humour, je n'ai pas abandonné ma lecture en cours de route.
Bref, c'était pas mal, mais clairement pas (pour moi) au niveau des
Bridget Jones.
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