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Critique de BurjBabil
C'est toujours difficile (pour moi) de se replonger dans une série commencée des mois voire des années avant. Selon le degré d'imprégnation, on a oublié plus ou moins les personnages principaux, secondaires et même l'intrigue.
Et si, comme ici, on repart au numéro six, on se demande si on doit reprendre les précédents, et à partir d'où...
J'ai relu mes précédentes critiques et me suis lancé "au talent".
Résultat : de belles planches fourmillant de détails. On appréciera l'arche en orbite autour de la géante gazeuse (couverture) qui offre des points de vue d'une grande beauté. La faune et la flore des exoplanètes sont toujours aussi luxuriantes qu'inhospitalières.
Scénaristiquement, puisque j'ai perdu le fil, il m'est difficile de donner un avis sur la cohérence. J'ai trouvé qu'on abusait des déplacements "à la Star Trek" par téléportation version moderne grâce au concept branché de trou de ver.
Pour rappel, le "wormhole" est, en astrophysique, un "pont" hypothétique qui relierait deux régions distinctes de l'espace-temps et se manifesterait, d'un côté, comme un trou noir et, de l'autre côté, comme un trou blanc. le trou de ver formerait un raccourci à travers l'espace-temps.
Ici, on abuse de l'un (espace) et on s'aventure un peu dans l'autre (temps).
Bon, il y a des gentils, les héros, et des méchants, mais on ne sait pas trop qui. Disons les autres, comme dans la vraie vie.
Et si, comme ici, on repart au numéro six, on se demande si on doit reprendre les précédents, et à partir d'où...
J'ai relu mes précédentes critiques et me suis lancé "au talent".
Résultat : de belles planches fourmillant de détails. On appréciera l'arche en orbite autour de la géante gazeuse (couverture) qui offre des points de vue d'une grande beauté. La faune et la flore des exoplanètes sont toujours aussi luxuriantes qu'inhospitalières.
Scénaristiquement, puisque j'ai perdu le fil, il m'est difficile de donner un avis sur la cohérence. J'ai trouvé qu'on abusait des déplacements "à la Star Trek" par téléportation version moderne grâce au concept branché de trou de ver.
Pour rappel, le "wormhole" est, en astrophysique, un "pont" hypothétique qui relierait deux régions distinctes de l'espace-temps et se manifesterait, d'un côté, comme un trou noir et, de l'autre côté, comme un trou blanc. le trou de ver formerait un raccourci à travers l'espace-temps.
Ici, on abuse de l'un (espace) et on s'aventure un peu dans l'autre (temps).
Bon, il y a des gentils, les héros, et des méchants, mais on ne sait pas trop qui. Disons les autres, comme dans la vraie vie.
