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Critique de jamiK
Un monde imaginé, mi-fantasy mi-SF, avec des références à la culture japonaise et au steampunk.
Les Marshalls sont les gardiens de l'ordre de cette société, un peu à la manière des Jedi dans Star Wars, ils n'ont pas de super pouvoirs mais sont entraînés aux arts martiaux et secondés par un robot de défense. Il se font trahir par un membre du pouvoir et se retrouvent hors la loi et pourchassés.
On quitte l'atmosphère de Fantasy et de Steampunk pour une conclusion tournée vers la science-fiction, c'est ce que je retiendrais le plus dans cette série, l'évolution apporte des surprises, dans un rythme et une ambiance réussie.
Nouveau changement de dessinateur, Tirso prend les rênes de ce quatrième tome. C'est à nouveau difficile de se retrouver avec les personnages, et la couleur est artificielle et parfois assez laide. Si les décors tiennent toujours la route, c'est à nouveau une déception concernant la représentation des personnages.
Dans cette série, Denis-Pierre Filippi s'en sort plutôt bien mais les changements de graphistes au cours de la série ont gâché mon plaisir, aucun ne m'a satisfait pleinement, la multiplication des personnages ne leur a sans doute pas non plus facilité la tâche. J'en ressort satisfait de l'intrigue générale, de l'ambiance steampunk, des décors de SF, mais déçu du gloubiboulga graphique concernant les couleurs et les personnages, c'était assez indigeste.
Les Marshalls sont les gardiens de l'ordre de cette société, un peu à la manière des Jedi dans Star Wars, ils n'ont pas de super pouvoirs mais sont entraînés aux arts martiaux et secondés par un robot de défense. Il se font trahir par un membre du pouvoir et se retrouvent hors la loi et pourchassés.
On quitte l'atmosphère de Fantasy et de Steampunk pour une conclusion tournée vers la science-fiction, c'est ce que je retiendrais le plus dans cette série, l'évolution apporte des surprises, dans un rythme et une ambiance réussie.
Nouveau changement de dessinateur, Tirso prend les rênes de ce quatrième tome. C'est à nouveau difficile de se retrouver avec les personnages, et la couleur est artificielle et parfois assez laide. Si les décors tiennent toujours la route, c'est à nouveau une déception concernant la représentation des personnages.
Dans cette série, Denis-Pierre Filippi s'en sort plutôt bien mais les changements de graphistes au cours de la série ont gâché mon plaisir, aucun ne m'a satisfait pleinement, la multiplication des personnages ne leur a sans doute pas non plus facilité la tâche. J'en ressort satisfait de l'intrigue générale, de l'ambiance steampunk, des décors de SF, mais déçu du gloubiboulga graphique concernant les couleurs et les personnages, c'était assez indigeste.
