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Critique de Aelynah
Avec ce troisième épisode nous entrons encore plus dans le vif du sujet. La soirée du poker déshabilleur se rapproche de plus en plus et cela se ressent dans l'ambiance générale.
Les relations de nos deux compères ne font qu'empirer les heures passant.
Eric Rouch est de plus en plus lunatique, tantôt ronchon, tantôt guilleret sans raison et cela énerve prodigieusement notre belle croupière.
Pourtant malgré cela, Isabelle se rend compte qu'elle apprécie de plus en plus les jeux qu'ils partagent et les paris tous plus scabreux qu'il lui soumet pour la faire plier. Elle n'est pas naïve et se doute bien de la finalité de cette croisière aux yeux de son patron. Mais, malgré une certaine gêne vis-à-vis de sa relation avec son fiancé, ces péripéties (balade en zodiaque, snorkeling, chasse au trésor, petits jeux de la vérité…) la sortent de son quotidien et la stimule, à son plus grand dam. Elle se rend, hélas, aussi compte des différences notables entre son fiancé et ce redoutable joueur et séducteur qu'est Eric Rouch.
Nous pénétrons ainsi dans cet épisode plus avant dans les pensées et les aspirations de nos deux joueurs et ce qu'Ena nous en montre nous pousse à adorer encore plus la suite de leurs aventures et surtout à frémir d'impatience devant les scènes qu'elle va, en bonne auteure un peu sadique avec ses personnages, leur concocter pour ne pas leur faciliter la tâche.
Nous avons grâce à elle l'immense joie de continuer à bénéficier du romantisme exacerbé d'Eric, à mi-chemin entre la légèreté d'un hippopotame et la délicatesse d'un camionneur. Sa galanterie amoureuse n'a donc de cesse de nous ébaubir et c'est avec une impatience grandissante que le lecteur attend chacune de ses remarques ou compliments.
En bref, sa goujaterie n'a d'égale que sa rouerie et son goût du jeu pour mener Isabelle… à son lit.
Malgré cela on ne peut qu'adorer rire à leurs dépens. Leurs simagrées, caprices ou autres plans foireux sont de purs moments de délice pour les yeux et ne vous étonnez pas de voir, si vous lisez en public, des gens vous regardez bizarrement parce que vous n'aurez pas su taire un gloussement ou un pouffement de rire sur votre livre.
Leurs relations crachent donc des flammes pour notre plus grand bonheur, flammes de colère mais aussi de passion car la belle a beau paraître froide, elle n'est pas loin de monter en vapeur.
Quant à Eric, on peut d'ors et déjà dire qu'il est cuit, accro, drogué à sa belle croupière même s'il s'en défend ainsi qu'à ses paris tous plus scabreux les uns que les autres. Eric est No limit et semble tester Isabelle à chaque instant.
De son côté Isabelle oublie toute prudence et se laisse entraîner dans le jeu afin de ne pas se faire mener à la baguette. Leur besoin de ne laisser passer aucune faiblesse les pousse au pire.
Il n'y a pas à dire ils forment une sacrée paire de têtes brûlées que l'on ne peut s'empêcher de suivre avec délectation.
Vivement l'épisode 4.
Lien : http://lespassionsdaely.cana..
Les relations de nos deux compères ne font qu'empirer les heures passant.
Eric Rouch est de plus en plus lunatique, tantôt ronchon, tantôt guilleret sans raison et cela énerve prodigieusement notre belle croupière.
Pourtant malgré cela, Isabelle se rend compte qu'elle apprécie de plus en plus les jeux qu'ils partagent et les paris tous plus scabreux qu'il lui soumet pour la faire plier. Elle n'est pas naïve et se doute bien de la finalité de cette croisière aux yeux de son patron. Mais, malgré une certaine gêne vis-à-vis de sa relation avec son fiancé, ces péripéties (balade en zodiaque, snorkeling, chasse au trésor, petits jeux de la vérité…) la sortent de son quotidien et la stimule, à son plus grand dam. Elle se rend, hélas, aussi compte des différences notables entre son fiancé et ce redoutable joueur et séducteur qu'est Eric Rouch.
Nous pénétrons ainsi dans cet épisode plus avant dans les pensées et les aspirations de nos deux joueurs et ce qu'Ena nous en montre nous pousse à adorer encore plus la suite de leurs aventures et surtout à frémir d'impatience devant les scènes qu'elle va, en bonne auteure un peu sadique avec ses personnages, leur concocter pour ne pas leur faciliter la tâche.
Nous avons grâce à elle l'immense joie de continuer à bénéficier du romantisme exacerbé d'Eric, à mi-chemin entre la légèreté d'un hippopotame et la délicatesse d'un camionneur. Sa galanterie amoureuse n'a donc de cesse de nous ébaubir et c'est avec une impatience grandissante que le lecteur attend chacune de ses remarques ou compliments.
En bref, sa goujaterie n'a d'égale que sa rouerie et son goût du jeu pour mener Isabelle… à son lit.
Malgré cela on ne peut qu'adorer rire à leurs dépens. Leurs simagrées, caprices ou autres plans foireux sont de purs moments de délice pour les yeux et ne vous étonnez pas de voir, si vous lisez en public, des gens vous regardez bizarrement parce que vous n'aurez pas su taire un gloussement ou un pouffement de rire sur votre livre.
Leurs relations crachent donc des flammes pour notre plus grand bonheur, flammes de colère mais aussi de passion car la belle a beau paraître froide, elle n'est pas loin de monter en vapeur.
Quant à Eric, on peut d'ors et déjà dire qu'il est cuit, accro, drogué à sa belle croupière même s'il s'en défend ainsi qu'à ses paris tous plus scabreux les uns que les autres. Eric est No limit et semble tester Isabelle à chaque instant.
De son côté Isabelle oublie toute prudence et se laisse entraîner dans le jeu afin de ne pas se faire mener à la baguette. Leur besoin de ne laisser passer aucune faiblesse les pousse au pire.
Il n'y a pas à dire ils forment une sacrée paire de têtes brûlées que l'on ne peut s'empêcher de suivre avec délectation.
Vivement l'épisode 4.
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