Lu dans une critique sur Babelio à propos de ce roman de
Flaubert:
"Je puis bien vous le dire maintenant, car il y a prescription, vous m'avez dégoûté à jamais du parfum de cette oeuvre que jamais plus maintenant je ne pourrai relire. Vous avez commis le péché capital de l'enseignant, en risquant l'écoeurement définitif et irréversible de vos élèves, et en particulier d'une âme pas spécialement fermée aux choses de la littérature...."
Or malheureusement après tant d'années, le charme n'opère toujours pas et je suis toujours autant incapable de supporter ce style d'écriture ampoulée qui sent les vieilles fleurs fanées et l'huile de camphre rancie.
Alors passons à autre chose...
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