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Critique de Cronos


L'auteur explique comme, une île riche est devenue pauvre après le passage du capitalisme, ça annonce la couleur dès le début. L'île, dans les années 70-80 fût très prospère grâce au phosphate, Nauru a choisi le monde de vie à l'occidentale, dépensant sans compter et jusqu'à épuisement de la ressource. Depuis elle a connue de nombreuses tragédies, des banques offshores choisissant ce bout de terre car c'est un merveilleux paradis fiscal puis elle fini loué par l'Australie voisine qui y met ses réfugiés, devenus trop nombreux, l'île est même à l'abandon depuis. J'ai aimé la façon dont s'est raconté, chronologiquement et mis en comparaison avec notre société qui emprunte le même chemin avec son mode de vie de surconsommation. L'auteur y met en parallèle de nombreux points communs qu'on l'Europe et cette petite île de l'hémisphère sud, comment une faillite économique arrive vite, comment un désastre écologique apparaît ou encore comment les maladies prennent le dessus.
Ca m'a plu, l'écriture est correcte et l'auteur s'exprime dans un langage compréhensible de tous et a le mérite de parler d'une île très peu connue pour en faire ressortir le meilleur comme le pire.
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