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Critique de ASAI
J'avais sincèrement apprécié le livre Grandir de cette personne, sans trop savoir d'où elle venait. La relation à sa mère en fin de vie touchait..
Je viens de terminer très rapidement (à la fin une page sur 4 ou 5, en jetant un oeil...) car on touche le fond du superficiel et du nombrilisme (et cela rejoint les autres productions de l'auteure : l'envie, la vocation).
Alors l'apparition c'est l'apparition d'un cheveu blanc sur la tête de la dite personne qui passe beaucoup de temps à se regarder... Dans son miroir parisien, dans un arrondissement choisi pour son confort sans doute.
Depuis cette personne a fait la couverture de magazine féminin avec ses cheveux blancs, une première, figurez-vous. Quelle révolution ! Alors si on en est là en matière de révolution, les Halimi, Groult, De Beauvoir, Veil, pour ne citer que les plus récentes, et toutes les autres... surtout ne vous retournez pas, surtout ne sortez pas de... non, le mieux est d'afficher une indifférence noble, élégante.
Oui, parce que du coup je n'ai pas raconté le livre : donc un cheveu blanc apparait et donc la question, est-ce que je reste belle malgré ce blanchissement de ma chevelure ? est-ce que je conserve ma féminité ?
Ah la question, qu'elle est capitale ! Là je me mets un peu en colère, faire un bouquin là-dessus, oser le faire, oser gagner de l'argent là-dessus, le prochain titre ce sera quoi : sur mon gros doigt de pied il y a des poils, épile-je-les ou pas ? Titre "la disparition" sous-entendu des poils sur mes doigts de pied. Sous question : est-ce féminin ou pas ?
Je viens de terminer très rapidement (à la fin une page sur 4 ou 5, en jetant un oeil...) car on touche le fond du superficiel et du nombrilisme (et cela rejoint les autres productions de l'auteure : l'envie, la vocation).
Alors l'apparition c'est l'apparition d'un cheveu blanc sur la tête de la dite personne qui passe beaucoup de temps à se regarder... Dans son miroir parisien, dans un arrondissement choisi pour son confort sans doute.
Depuis cette personne a fait la couverture de magazine féminin avec ses cheveux blancs, une première, figurez-vous. Quelle révolution ! Alors si on en est là en matière de révolution, les Halimi, Groult, De Beauvoir, Veil, pour ne citer que les plus récentes, et toutes les autres... surtout ne vous retournez pas, surtout ne sortez pas de... non, le mieux est d'afficher une indifférence noble, élégante.
Oui, parce que du coup je n'ai pas raconté le livre : donc un cheveu blanc apparait et donc la question, est-ce que je reste belle malgré ce blanchissement de ma chevelure ? est-ce que je conserve ma féminité ?
Ah la question, qu'elle est capitale ! Là je me mets un peu en colère, faire un bouquin là-dessus, oser le faire, oser gagner de l'argent là-dessus, le prochain titre ce sera quoi : sur mon gros doigt de pied il y a des poils, épile-je-les ou pas ? Titre "la disparition" sous-entendu des poils sur mes doigts de pied. Sous question : est-ce féminin ou pas ?
