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Critique de meliewolff
Mère-fille, histoire d'une adoption
Mon avis :
J'ai eu envie de lire cette histoire car l'adoption a toujours été une éventualité pour moi, dès mon plus jeune âge je me voyais aller en Asie ou en Afrique pour trouver un enfant à aimer. Adeline avait également cette envie et c'est en Russie qu'elle a trouvé sa fille Nastia qui utilise désormais le prénom d'Hazel. Un nouveau prénom pour une nouvelle vie.
Car la petite Nastia a eu une enfance très difficile, une mère alcoolique et tyrannique. Elle a connu la misère mais surtout la violence. On ne peut imaginer toutes les choses qu'elle a pu vivre et qu'elle nous relate avec un certain détachement. En même temps il fut un temps cela lui semblait être "normal", ne pas connaître l'amour maternel, craindre le moindre geste d'une mère dépourvue de tendresse, qui ne voyait en elle qu'un défouloir...
Je vous passe les détails sordides, Hazel en parle avec une certaine pudeur, ce qui pourrait sembler étrange puisqu'il y a cette histoire publiée mais l'on sent que le but principal était plus de nous parler de sa rencontre avec sa nouvelle maman. Celle qui lui a permit de renaître et de connaître ce qui devrait être le quotidien de chaque enfant. Manger à sa faim, ne pas être constamment terrorisé, ne pas trembler de froid et de peur continuellement...
Ce livre nous permet également de voir les procédures de l'adoption, la complexité et la longueur d'une telle démarche. Il faut avoir les épaules solides et une détermination sans faille pour enfin tenir son enfant, celui qu'on aime même avant d'avoir la certitude qu'il sera sien. le combat d'Adeline est admirable et cette femme a pu apprivoiser ce petit oiseau tombé trop tôt du nid, fracassé par la chute et qu'il fallait guérir, aider à se reconstruire pour qu'il puisse voler de ses propres ailes.
Un livre émouvant tant par le passé de Nastia et la volonté d'Adeline que par leur résolution d'être ensemble. Une mère et sa fille touchantes par leur histoire et à travers ce récit.
Je remercie Mathilde et les éditions La boîte à Pandore pour cette découverte.
Lien : http://the-love-book.eklablo..
Mon avis :
J'ai eu envie de lire cette histoire car l'adoption a toujours été une éventualité pour moi, dès mon plus jeune âge je me voyais aller en Asie ou en Afrique pour trouver un enfant à aimer. Adeline avait également cette envie et c'est en Russie qu'elle a trouvé sa fille Nastia qui utilise désormais le prénom d'Hazel. Un nouveau prénom pour une nouvelle vie.
Car la petite Nastia a eu une enfance très difficile, une mère alcoolique et tyrannique. Elle a connu la misère mais surtout la violence. On ne peut imaginer toutes les choses qu'elle a pu vivre et qu'elle nous relate avec un certain détachement. En même temps il fut un temps cela lui semblait être "normal", ne pas connaître l'amour maternel, craindre le moindre geste d'une mère dépourvue de tendresse, qui ne voyait en elle qu'un défouloir...
Je vous passe les détails sordides, Hazel en parle avec une certaine pudeur, ce qui pourrait sembler étrange puisqu'il y a cette histoire publiée mais l'on sent que le but principal était plus de nous parler de sa rencontre avec sa nouvelle maman. Celle qui lui a permit de renaître et de connaître ce qui devrait être le quotidien de chaque enfant. Manger à sa faim, ne pas être constamment terrorisé, ne pas trembler de froid et de peur continuellement...
Ce livre nous permet également de voir les procédures de l'adoption, la complexité et la longueur d'une telle démarche. Il faut avoir les épaules solides et une détermination sans faille pour enfin tenir son enfant, celui qu'on aime même avant d'avoir la certitude qu'il sera sien. le combat d'Adeline est admirable et cette femme a pu apprivoiser ce petit oiseau tombé trop tôt du nid, fracassé par la chute et qu'il fallait guérir, aider à se reconstruire pour qu'il puisse voler de ses propres ailes.
Un livre émouvant tant par le passé de Nastia et la volonté d'Adeline que par leur résolution d'être ensemble. Une mère et sa fille touchantes par leur histoire et à travers ce récit.
Je remercie Mathilde et les éditions La boîte à Pandore pour cette découverte.
Lien : http://the-love-book.eklablo..
