Il y a des bouquins qui prennent un bon moment avant de capter mon attention.
Korsakov est un de ses livres. Mais une fois que j'étais pique par l'histoire, je ne voulais plus le mettre à cote. C'est un conte doux avec une certaine violence toujours pas loin de la surface, qui promène entre Bordeaux et la Tunisie. Je ne vais rien dévoiler dans ma critique pourquoi ça s'appelle
Korsakov. Tous que je veux admettre est qu'on a tous un peu de
Korsakov en dedans, et je vais réfléchir sur ce sujet pendant longtemps.
Commenter  J’apprécie         30