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L'histoire : L'action se passe en 573. Alors que Galswinthe, l'épouse de Chilpéric, l'un des trois petits-fils de Clovis, a été assassinée quatre ans plus tôt, sa soeur, la reine Brunehilde d'Austrasie, veut découvrir l'entière vérité sur cette brutale disparition et charge Arsenius Pontius, un jeune lettré gallo-roman d'enquêter.
Il se rend à Rouen pour interroger Wintrude, une esclave des Francs et ancienne princesse Thurgingienne. La jeune fille va lui être d'une aide précieuse et ensemble ils vont enquêter, au péril de leurs vies.
Mon avis : l'auteur annonce dès le début avoir pris quelques libertés avec l'Histoire, d'autant plus que certaines dates restent un peu floues pour les historiens. Ce qui laisse toute latitude aux écrivains pour écrire leurs romans. Certains personnages ont eu leur nom légèrement modifié tandis que d'autres ont été inventés pour les besoins de l'histoire. Mais qui s'en soucie lorsque l'intrigue est passionnante ? Et qu'au final l'histoire reste crédible.
C'est un livre qui en version broché fait 485 pages. Si depuis quelques mois ce genre de pavé me faisait fuir, celui-ci au contraire a eu un goût de trop peu. Et pourtant je suis sortie de ma zone de confort. C'est la première fois que je lis un livre dont l'histoire se déroule à cette époque. Mais j'ai été intriguée par le titre et avant de lire le quatrième de couverture, j'étais même persuadée que l'action se situait de nos jours.
En revanche il y a énormément de personnages et j'avoue avoir eu un peu de mal à retenir tous les noms et savoir qui était qui et qui faisait quoi. Car en plus des personnages principaux qui sont nombreux (les trois petits fils de Clovis, les épouses, les concubines, les ex-épouses répudiées, et bien entendu Wintrude et Arsenius), se rajoutent des tas d'autres personnages qui vont apparaître brièvement ou au contraire devenir récurrents. Mieux vaut prendre des notes !
Quoiqu'il en soit, je me suis attachée très rapidement à Wintrude, Arsenius et Brunehilde. Je pourrais cependant regretter un épilogue un peu trop court et un coupable un peu trop tiré par les cheveux. Néanmoins, j'ai acheté la suite, «La fureur de Frédégonde », car la fin du premier tome donne vraiment envie de savoir ce qu'il va se passer par la suite.
Critique de Ponderosa
L'histoire : L'action se passe en 573. Alors que Galswinthe, l'épouse de Chilpéric, l'un des trois petits-fils de Clovis, a été assassinée quatre ans plus tôt, sa soeur, la reine Brunehilde d'Austrasie, veut découvrir l'entière vérité sur cette brutale disparition et charge Arsenius Pontius, un jeune lettré gallo-roman d'enquêter.
Il se rend à Rouen pour interroger Wintrude, une esclave des Francs et ancienne princesse Thurgingienne. La jeune fille va lui être d'une aide précieuse et ensemble ils vont enquêter, au péril de leurs vies.
Mon avis : l'auteur annonce dès le début avoir pris quelques libertés avec l'Histoire, d'autant plus que certaines dates restent un peu floues pour les historiens. Ce qui laisse toute latitude aux écrivains pour écrire leurs romans. Certains personnages ont eu leur nom légèrement modifié tandis que d'autres ont été inventés pour les besoins de l'histoire. Mais qui s'en soucie lorsque l'intrigue est passionnante ? Et qu'au final l'histoire reste crédible.
C'est un livre qui en version broché fait 485 pages. Si depuis quelques mois ce genre de pavé me faisait fuir, celui-ci au contraire a eu un goût de trop peu. Et pourtant je suis sortie de ma zone de confort. C'est la première fois que je lis un livre dont l'histoire se déroule à cette époque. Mais j'ai été intriguée par le titre et avant de lire le quatrième de couverture, j'étais même persuadée que l'action se situait de nos jours.
En revanche il y a énormément de personnages et j'avoue avoir eu un peu de mal à retenir tous les noms et savoir qui était qui et qui faisait quoi. Car en plus des personnages principaux qui sont nombreux (les trois petits fils de Clovis, les épouses, les concubines, les ex-épouses répudiées, et bien entendu Wintrude et Arsenius), se rajoutent des tas d'autres personnages qui vont apparaître brièvement ou au contraire devenir récurrents. Mieux vaut prendre des notes !
Quoiqu'il en soit, je me suis attachée très rapidement à Wintrude, Arsenius et Brunehilde. Je pourrais cependant regretter un épilogue un peu trop court et un coupable un peu trop tiré par les cheveux. Néanmoins, j'ai acheté la suite, «La fureur de Frédégonde », car la fin du premier tome donne vraiment envie de savoir ce qu'il va se passer par la suite.
