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Critique de Citrouille_mecanique
Malgré un résumé plutôt prometteur, j'ai trouvé cette lecture horriblement ennuyeuse.
En fait, c'est bien simple, il ne se passe absolument rien sur les 350 premières pages (et sur 400, ça fait beaucoup !).
Monica a eu un accident, et depuis, sa vie n'est que douleur. La prise de médicaments lui fait perdre un peu la mémoire. Avec un pilier scénaristique comme celui-là, on est en droit de s'attendre à quelque chose de passionnant. Qu'a-t-elle pu oublier de si important ?
Mais finalement, le récit reste trop sur la douleur, et ça en devient pénible. Alors oui, je veux bien que lorsqu'on est victime d'une telle douleur permanente, tout le reste est balayé. Mais bon, on nous vend ce livre comme un thriller psychologique, pas comme le témoignage d'une femme brisée, d'où la frustration. Parce que ça devient très vite, très répétitif, et au bout de 300 pages, on a l'impression que le seul avancement de l'histoire, c'est l'essai d'un nouveau traitement.
Alors par chance, les 50 dernières pages sont un peu mieux. J'imagine que c'est là où est censé se trouver le "suspense psychologique" promis sur la quatrième de couverture. Eh bien oubliez cette idée toute suite ! du suspense, il n'y en a pas, tout simplement parce que les quelques révélations sont prévisibles à des kilomètres. Malheureusement, les personnages manquent bien trop de subtilité pour cacher leur jeu.
Et surtout, même si la douleur prend une place importante, ce qui n'est pas forcément courant, le reste de l'histoire n'a rien de bien original. J'ai eu l'impression de relire "Avant d'aller dormir". Mais en moins bien et plus simpliste.
En fait, c'est bien simple, il ne se passe absolument rien sur les 350 premières pages (et sur 400, ça fait beaucoup !).
Monica a eu un accident, et depuis, sa vie n'est que douleur. La prise de médicaments lui fait perdre un peu la mémoire. Avec un pilier scénaristique comme celui-là, on est en droit de s'attendre à quelque chose de passionnant. Qu'a-t-elle pu oublier de si important ?
Mais finalement, le récit reste trop sur la douleur, et ça en devient pénible. Alors oui, je veux bien que lorsqu'on est victime d'une telle douleur permanente, tout le reste est balayé. Mais bon, on nous vend ce livre comme un thriller psychologique, pas comme le témoignage d'une femme brisée, d'où la frustration. Parce que ça devient très vite, très répétitif, et au bout de 300 pages, on a l'impression que le seul avancement de l'histoire, c'est l'essai d'un nouveau traitement.
Alors par chance, les 50 dernières pages sont un peu mieux. J'imagine que c'est là où est censé se trouver le "suspense psychologique" promis sur la quatrième de couverture. Eh bien oubliez cette idée toute suite ! du suspense, il n'y en a pas, tout simplement parce que les quelques révélations sont prévisibles à des kilomètres. Malheureusement, les personnages manquent bien trop de subtilité pour cacher leur jeu.
Et surtout, même si la douleur prend une place importante, ce qui n'est pas forcément courant, le reste de l'histoire n'a rien de bien original. J'ai eu l'impression de relire "Avant d'aller dormir". Mais en moins bien et plus simpliste.
