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Critique de BazaR
J'ai lu très peu de Spirou et Fantasio dans ma vie. J'en ai eu envie ces dernières semaines, pour changer. J'ai opté pour la période Franquin, pas besoin d'expliquer pourquoi (pas vrai Gaston ?).
J'ai surtout opté pour une aventure où on voyage. Et là j'ai été servi : Afrique du Nord puis subsaharienne, savane, animaux sauvages, tribus plus ou moins sociables… de chouettes dessins sympathiques. le scénario n'est pas mal non plus, avec ces plans cachés de l'invention du moment : la turbotraction, dont les vilaines marques célèbres veulent s'emparer et dont la recherche mènera nos héros à un… rhinocéros ?
Et cependant j'ai eu du mal à me fasciner pour cette histoire. Probablement à cause d'un Spirou trop lisse. La personnalité de Fantasio donne un peu de piment, mais ça ne vaut pas un capitaine Haddock (ressenti personnel). En revanche le personnage de la journaliste Seccotine est génial. Je rappelle que le récit date de 1952-53 et mettre ainsi en avant une jeune femme brillante qui donne des ulcères à Fantasio devait secouer les conventions.
Donc une honnête lecture, agréable mais sans passion. de Franquin je préfère Gaston ou Idées noires.
Je vais quand même continuer car j'ai une intégrale de trois albums.
J'ai surtout opté pour une aventure où on voyage. Et là j'ai été servi : Afrique du Nord puis subsaharienne, savane, animaux sauvages, tribus plus ou moins sociables… de chouettes dessins sympathiques. le scénario n'est pas mal non plus, avec ces plans cachés de l'invention du moment : la turbotraction, dont les vilaines marques célèbres veulent s'emparer et dont la recherche mènera nos héros à un… rhinocéros ?
Et cependant j'ai eu du mal à me fasciner pour cette histoire. Probablement à cause d'un Spirou trop lisse. La personnalité de Fantasio donne un peu de piment, mais ça ne vaut pas un capitaine Haddock (ressenti personnel). En revanche le personnage de la journaliste Seccotine est génial. Je rappelle que le récit date de 1952-53 et mettre ainsi en avant une jeune femme brillante qui donne des ulcères à Fantasio devait secouer les conventions.
Donc une honnête lecture, agréable mais sans passion. de Franquin je préfère Gaston ou Idées noires.
Je vais quand même continuer car j'ai une intégrale de trois albums.
