J'avais besoin de fantaisie dans mes gambettes, de frivolité dans mes oreilles, de légèreté dans mes mains et de rire dans mes larmes...
Je ne voulais plus qu'on me parle ni de mort, ni de meurtre, ni de guerre, ni d'amour malheureux.
Je voulais juste retrouver un peu de cette naïveté tendre et innocente, celle qui me caractérise si souvent et que je perds parfois de vue...
J'avais besoin de me reconnecter à cette langue que j'aime depuis toujours, à cet humour enfantin qui me quitte parfois, à cette finesse délicate qui ne peut venir que du coeur, à cette petite touche d'impertinence imperceptible qui me séduit à tous les coups.
Quelque part entre
Queneau et
Prévert, j'ai retrouvé, au fond d'un tiroir poussiéreux, les
Histoires pressées que je lisais à quatre mains avec mon fils. Les mots sont si souvent des bouées de sauvetage !
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Pour évoquer les
Histoires qui nous sauvent, préssées ou non d'ailleurs, n'hésitez pas à me rejoindre aussi sur Instagram !
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