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Critique de gill
Capitan a reçu du roi le titre de marquis de Montorgueil.
Accompagné de son fidèle Larose, il s'est mêlé à la foule rassemblée autour d'un échafaud.
Stupéfait, il reconnaît le condamné qui n'est autre que Balthazar, le chef des coupe-jarrets qui avait cru le faire sauter avec sa mine* !
Après l'avoir fait gracier grâce à sa nouvelle charge de haute-justice du roi, Capitan reprend sa route vers le château de Montorgueil.
Celui-ci est abandonné depuis plusieurs mois et les villageois assurent que, depuis l'assassinat de l'ancien marquis, on raconte des choses, on entend des bruits !
Le château serait hanté !
On y entendrait des gémissements, on y aurait vu d'étranges lueurs !
A son arrivée, Capitan découvre une macabre mise en scène.
Dans sa chambre, la nuit venue, une ombre, poussant lentement le battant bien huilé, se glisse, et en deux bonds, atteignant le lit, tente de le poignarder....
Revoici, à nouveau, l'intrépide Capitan qui vous fera vivre de merveilleuses nouvelles aventures...Texte et dessin sont signés Liliane et Fred Funcken.
Ce deuxième album, où Capitan verra lui échapper, dans un épilogue pourtant heureux, son titre de marquis ainsi que la propriété de son château, est plein de rebondissements, de cliquetis de rapières, de péripéties, de complots et de cavalcades.
Il est annoncé, en mai 1964, par la superbe couverture du 813ème numéro de "Tintin", le journal des jeunes de 7 à 77 ans.
Dans le numéro précédent, la chronique cinéma, s'étalant sur deux pages, était consacrée au film de Bernard Borderie, "Hardi ! Pardaillan", qui venait de sortir sur le grand écran.
Émaillé de petites indications anecdotiques et historiques, réalisée avec soin et talent, " Capitan contre les conspirateurs" contient tous les ingrédients qui ont fait le succès du genre.
Cet album se redécouvre avec énormément de plaisir et de nostalgie.
* voir le premier album "En garde, Capitan !"
Accompagné de son fidèle Larose, il s'est mêlé à la foule rassemblée autour d'un échafaud.
Stupéfait, il reconnaît le condamné qui n'est autre que Balthazar, le chef des coupe-jarrets qui avait cru le faire sauter avec sa mine* !
Après l'avoir fait gracier grâce à sa nouvelle charge de haute-justice du roi, Capitan reprend sa route vers le château de Montorgueil.
Celui-ci est abandonné depuis plusieurs mois et les villageois assurent que, depuis l'assassinat de l'ancien marquis, on raconte des choses, on entend des bruits !
Le château serait hanté !
On y entendrait des gémissements, on y aurait vu d'étranges lueurs !
A son arrivée, Capitan découvre une macabre mise en scène.
Dans sa chambre, la nuit venue, une ombre, poussant lentement le battant bien huilé, se glisse, et en deux bonds, atteignant le lit, tente de le poignarder....
Revoici, à nouveau, l'intrépide Capitan qui vous fera vivre de merveilleuses nouvelles aventures...Texte et dessin sont signés Liliane et Fred Funcken.
Ce deuxième album, où Capitan verra lui échapper, dans un épilogue pourtant heureux, son titre de marquis ainsi que la propriété de son château, est plein de rebondissements, de cliquetis de rapières, de péripéties, de complots et de cavalcades.
Il est annoncé, en mai 1964, par la superbe couverture du 813ème numéro de "Tintin", le journal des jeunes de 7 à 77 ans.
Dans le numéro précédent, la chronique cinéma, s'étalant sur deux pages, était consacrée au film de Bernard Borderie, "Hardi ! Pardaillan", qui venait de sortir sur le grand écran.
Émaillé de petites indications anecdotiques et historiques, réalisée avec soin et talent, " Capitan contre les conspirateurs" contient tous les ingrédients qui ont fait le succès du genre.
Cet album se redécouvre avec énormément de plaisir et de nostalgie.
* voir le premier album "En garde, Capitan !"
