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Critique de Ladilae
Hiraku passe son temps le nez plongé dans son carnet à dessins. Son talent lui a valu le surnom de Picasso. Renfermé, solitaire, il n'a qu'une amie : Chiaki. Seulement, un jour, ils sont victimes d'un accident dans lequel la jeune fille péri. Quelques semaines après, elle réapparait à Picasso et lui explique qu'elle est un peu comme son ange gardien et qu'il aurait dû mourir ce jour-là sans ses prières. Les dieux lui ont laissé la vie sauve à condition qu'il consacre sa vie à aider les autres. Cela est loin de l'enchanter mais il n'a guère le choix : son corps gangrène s'il ne fait rien. alors pour stopper l'infection, il doit aider les autres et d'étranges pouvoirs vont l'y aider.Les histoires sont très courtes et assez peu développées. Ce n'est pas tant le scénario qui me plait que le dessin, que je trouve sublime, surout dans cette série. Je verrais si, dans les tomes suivants, l'histoire se développe et me donne un peu plus envie de continuer à lire.
