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Critique de Cristie
Le fameux conte cruel des frères Grimms, Hänsel et Gretel, traduit de l'allemand par Jean-Claude Mourlevat et totalement sublimé par le noir et blanc tragique de Lorenzo Mattoti !
Synopsis :
Abandonnés par leurs parents dans la forêt, Hänsel et Gretel s'enfoncent dans les bois et trouvent une maison faite de pain et de gâteau, avec des fenêtres en sucre. Tandis que les enfants en dégustent des morceaux, une vieille femme sort de la maison et leur dit :
- Hé, mes chers enfants, qui vous a amenés ici ? Entrez donc chez moi, il ne vous sera fait aucun mal.
Verdict :
Est-il besoin de revenir sur le conte ? L'intérêt de ce livre réside en ce que l'histoire a été totalement transcendée par les illustrations de Lorenzo Mattoti. Il a fait le choix du noir et blanc car cela permet d'aller à l'essentiel, il n'y a pas de filtres. Il joue alors avec les traits car pour lui ils permettent une narration.
Contempler ses illustrations c'est faire une relecture différente du conte. Il ne l'a pas pensé ou créé pour des enfants mais il le faisait pour l'enfant qu'il a été. Ce qui peut plaire à des enfants qui aiment souvent jouer à se faire peur car au fond cela reste sur le papier. Les images sont d'une force expressionniste saisissante, évoquant la peur, le mystère et l'angoisse mais toujours une lumière blanche filtre à travers la forêt torturée qui parle d'espoir et de fin heureuse.
Lien : http://depuislecadredemafene..
Synopsis :
Abandonnés par leurs parents dans la forêt, Hänsel et Gretel s'enfoncent dans les bois et trouvent une maison faite de pain et de gâteau, avec des fenêtres en sucre. Tandis que les enfants en dégustent des morceaux, une vieille femme sort de la maison et leur dit :
- Hé, mes chers enfants, qui vous a amenés ici ? Entrez donc chez moi, il ne vous sera fait aucun mal.
Verdict :
Est-il besoin de revenir sur le conte ? L'intérêt de ce livre réside en ce que l'histoire a été totalement transcendée par les illustrations de Lorenzo Mattoti. Il a fait le choix du noir et blanc car cela permet d'aller à l'essentiel, il n'y a pas de filtres. Il joue alors avec les traits car pour lui ils permettent une narration.
Contempler ses illustrations c'est faire une relecture différente du conte. Il ne l'a pas pensé ou créé pour des enfants mais il le faisait pour l'enfant qu'il a été. Ce qui peut plaire à des enfants qui aiment souvent jouer à se faire peur car au fond cela reste sur le papier. Les images sont d'une force expressionniste saisissante, évoquant la peur, le mystère et l'angoisse mais toujours une lumière blanche filtre à travers la forêt torturée qui parle d'espoir et de fin heureuse.
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