Un récit unique pour ce cinquième tome, qui lorgne fortement vers la fantasy. Pourtant cela commence de façon anodine. Un étrange dialogue au milieu de la neige. Puis des scènes quotidiennes d'une colocation new yorkaise, qui portraite des gens un peu (beaucoup) à la marge. Survient l'horreur, qui arrivera à mettre mal à l'aise les lecteurs, et la plongée dans un monde onirique, intimement lié à l'enfance. Chez
Gaiman, les contrastes sont saisissants. D'une page à l'autre, il mélange allègrement les genres, avec une facilité déconcertante.
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