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Critique de harukochan
En résumé : Thriller. Les misérables qui s'en sont pris à Dwen Bailey vont s'en mordre les doigts… Qui, de la justice ou des trois soeurs Bailey, vont achever leur traque en premier ?
En détail :
Cette histoire est celle de la famille Bailey et de son emménagement dans une très ancienne demeure de la ville de Danvers. le père est un flic à la dérive suite au départ de sa femme, qui a profité du déménagement pour s'esquiver avec son amant, et qui va devoir gérer ses trois filles, Diane, Dwen et Déborah. Les protagonistes sont d'un réalisme fou, avec chacun leurs failles, qui peinent à faire famille suite aux bouleversements de leur quotidien. L'alternance des points de vue d'un chapitre à l'autre participe à cette intimité.
Un drame va rapidement survenir : en rentrant d'une soirée à laquelle elle n'avait en aucun cas le droit de se trouver, Dwen va se faire agresser, droguer et abuser sexuellement. Elle se réveille au petit matin dans un parc et réussit tant bien que mal à rentrer chez elle. A partir de là, la descente aux enfers commence, les portes se ferment les une après les autres, amis ou adultes, personne à qui se confier. L'éducation ultra culpabilisante de sa famille, menée par son père, la pousse à masquer sa honte et ses douleurs.
Mais Dwen, du haut de ses 16 ans, ne va pas pouvoir cacher la situation. Les maillons de la sororité vont alors se resserrer malgré un quotidien compliqué, et les soeurs de Dwen vont décider de la venger et faire front avec elle. La famille se reforme autour de ce drame et le récit rend à la perfection le renforcement de ces liens.
Ce roman est à la fois un thriller, avec une enquête policière autour de plusieurs morts des plus étranges, et un roman fantastique, avec l'apparition de phénomènes surnaturels dans l'intrigue. La plus jeune des soeurs révèle des dons en lien avec la sorcellerie et les trois soeurs vont les exploiter pour parvenir à leur vengeance.
Un récit des plus addictifs, dur par son réalisme mais nécessaire par ses thématiques.
Du même auteur : Un signe d'elle.
Dans le même genre : Les sorcières de Pendle, de Stacey Halls.
En détail :
Cette histoire est celle de la famille Bailey et de son emménagement dans une très ancienne demeure de la ville de Danvers. le père est un flic à la dérive suite au départ de sa femme, qui a profité du déménagement pour s'esquiver avec son amant, et qui va devoir gérer ses trois filles, Diane, Dwen et Déborah. Les protagonistes sont d'un réalisme fou, avec chacun leurs failles, qui peinent à faire famille suite aux bouleversements de leur quotidien. L'alternance des points de vue d'un chapitre à l'autre participe à cette intimité.
Un drame va rapidement survenir : en rentrant d'une soirée à laquelle elle n'avait en aucun cas le droit de se trouver, Dwen va se faire agresser, droguer et abuser sexuellement. Elle se réveille au petit matin dans un parc et réussit tant bien que mal à rentrer chez elle. A partir de là, la descente aux enfers commence, les portes se ferment les une après les autres, amis ou adultes, personne à qui se confier. L'éducation ultra culpabilisante de sa famille, menée par son père, la pousse à masquer sa honte et ses douleurs.
Mais Dwen, du haut de ses 16 ans, ne va pas pouvoir cacher la situation. Les maillons de la sororité vont alors se resserrer malgré un quotidien compliqué, et les soeurs de Dwen vont décider de la venger et faire front avec elle. La famille se reforme autour de ce drame et le récit rend à la perfection le renforcement de ces liens.
Ce roman est à la fois un thriller, avec une enquête policière autour de plusieurs morts des plus étranges, et un roman fantastique, avec l'apparition de phénomènes surnaturels dans l'intrigue. La plus jeune des soeurs révèle des dons en lien avec la sorcellerie et les trois soeurs vont les exploiter pour parvenir à leur vengeance.
Un récit des plus addictifs, dur par son réalisme mais nécessaire par ses thématiques.
Du même auteur : Un signe d'elle.
Dans le même genre : Les sorcières de Pendle, de Stacey Halls.
