Le livre qui m'a fait aimer Gary, pourtant le moins connu peut-être. Après
Adieu Gary Cooper, la lecture des autres m'a en général hélas laissée déçue, et je n'ai - un peu - retrouvé cette écriture jubilatoire que dans ce qu'il a écrit sous le
pseudo d'Ajar (Gary reste cependant un de mes écrivain·e·s français·e·s préféré·e·s, de loin).
Peu importe l'histoire, qui pour moi n'a ici que peu d'intérêt, sauf dans sa résolution
(ça se finit bien donc ça se finit mal, ou ça se finit mal parce que ça se finit bien) , le fond est là. Drôle, et noir, et d'une intelligence réjouissante.
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