Quand tout est mort et noir, seule l’imagination donne des couleurs à la vie.
L'argent n'a pas d'odeur, mais le cul des banquiers sentira toujours la peur.
Quand tous est mort et noir, seule l’imagination donnes des couleur à la vie.
L'argent n'a pas d'odeur, mais le cul du banquier sentira toujours la peur.
Tout un paradoxe. En donnant aux autres, s'oublier soi. Il sourit, jaune. Un peu comme son métier de policier. Flic, clown d'une société malade, chargé d'en assurer la sauvegarde.
(p.193)
C'est pour cela qu'il pensait à son père. Parce que celui-ci lui avait transmis ce don [l'imagination] et lui avait toujours conseillé de le développer. Pour mieux armer ses rêves et défendre son présent. (...) Quand tout est mort et noir, seule l'imagination donne de la couleur à la vie. (p.366)
Quand tout est mort et noir,seule l'imagination donne des couleurs à la vie.
La pluie a abandonné l'idée de tomber sur la rive droite du Léman.
Persuadée depuis le départ de son concubin et père de ses deux enfants que la colère de Dieu et de tous ses saints s'était abattue sur elle, et que cette malédiction divine ne faisait qu'empirer depuis. Plus catholique que pratiquante, elle s'était quand même signée quatre fois, autant que ses pleurs, pour éloigner ce mauvais œil.
L'argent n'a pas d'odeur, mais le cul du braqueur sentira toujours la peur.
Ils connaissent les capacités imaginatives de l'homme pour faire souffrir son prochain.
Au troisième étage, du rap qui se veut être de la musique sort d'une porte entreouverte. Basile reconnaît le titre et le chanteur.
_ P'tain, Jul ! Goûts de chiottes, Ernesto.