Dans cette histoire, nous suivons Coyote et Rodéo qui se déplacent aux États-Unis, dans un bus scolaire jaune. Ce bus, c'est leur maison. Ils vont là où le vent les porte, là où ils ont envie d'aller sur le moment. Que ce soit dans un restaurant de sandwich qu'ils adorent ou au bord de l'océan, peu importe, ils vont où ils veulent.
Mais la vie va mettre sur leur route des gens formidables, des animaux incroyables et un objectif secret pour Coyote.
Cela donne lieu à un road trip tendre et drôle.
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J'aurais aimé aimer ce livre. J'aurais voulu l'adorer, le lire et le relire.
Mais... Mais Rodéo, qui est le père de Coyote, lui interdit de l'appeler Papa...
Suite à un drame, Coyote et Rodéo doivent faire leur deuil, en se raccrochant l'un à l'autre.
Et c'est là que j'ai bloqué. Rodéo impose sa façon de faire son deuil à Coyote et c'est hyper violent je trouve. Une enfant si jeune, son enfant, on la protège, on l'écoute, on l'accompagne.
Là, Rodéo est presque l'enfant dans cette relation.
Du coup, non, ça ne l'a vraiment pas fait. Ce "détail" m'a empêché d'apprécier ce road trip.
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D'autres menus détails m'ont fait décrocher : le trop sur l'enchaînement d'action. Trop de péripéties, trop d'incohérences.
Comme Coyote qui du haut de ses 12 ans peut conduire ce bus scolaire, du nom de Yageur. Non mais même au niveau des jambes ça ne passe pas.
Et la course à la fin, pour retrouver ce pour quoi Coyote a traversé le pays : la réaction du policier, des adultes autour. Improbable...
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En bref, vraiment une déception pour ce livre, même si certaines choses m'ont plu : les personnages secondaires, Ivan, la chèvre, suivre le road trip sur une carte...
Mais le négatif était trop présent dans mon esprit, encore maintenant alors que je l'ai finis depuis trois semaines au moins.
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