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Critique de jonatjackson
Mon premier Gemmell !
Un dépucelage littéraire enfin arrivé et ce fut un plaisir. Je peux comprendre que beaucoup d'auteurs s'inspirent du Papa G. pour leurs histoires, même si ce volume n'est pas le meilleur.
Pour débuter, nouvelle édition STAR, je me fais un kiffe façon chronologie. Waylander étant le premier livre du cycle Drenaï sur la ligne du temps.
L'histoire proprement dite, beaucoup l'ont déjà résumée. En gros, les peuples Drenaï sont à l'agonie, ils se font bouter hors de leurs terres et massacrés par les Vagrian. Un assassin qui n' a rien demandé à personne se retrouve propulsé dans une mission sauvetage de la veuve et de l'orphelin, guidé par un prêtre qui passe du statut de profond croyant végétalien à un statut de guerrier angélique argenté découpant les méchants sous forme éthérée.
Le pitch paraît saugrenu, mais il y a de la qualité dans ce bouquin, tout comme des défauts.
Les + :
- Beaucoup d'action, peut de temps mort. On aime ou on aime pas mais je pense personnellement que cela accélère le rythme de la lecture.
- Pas mal de personnages secondaires, plus ou moins importants, avec pour chacun une personnalité bien dessinée.
- Des combats épiques, des monstres, du sang et des entrailles, que demande le peuple ?
- Un récit relativement court et accessible à tous.
- de l'héroïsme, de la haine, de l'amour, de l'amitié,...
- La fin est un bordel sans nom qui donne bien un aperçu de la suite des aventures de l'Assassin.
les - :
- le passage trop brutal des sentiments des uns et des autres. Waylander devient en quelques pages le défenseur des faibles et des innocents alors que pendant 20 ans il tuait n'importe qui pour quelques pièces. Pareil pour le prêtre Dardalion (même si son changement d'état n'est pas entièrement de sa faute). le chasseur qui poursuivait Waylander et Durmast un ami-assassin eux aussi changent du tout au tout et aident l'anti-héros à passer outre les pires épreuves.
- La facilité avec laquelle Waylander se défait de certaines situations.
- le manque de détails dans certaines scènes de batailles où le héros se retrouve blessé mais on ne le mentionne à aucun moment avant.
- Waylander n'a aucun ami depuis 20 ans et en 200 pages il s'est fait plus d'amis que dans toute sa vie.
- Des répétitions répétitives à répétitions pour certains passages. On retrouve parfois le nom de Dardalion 3x d'affilées sur 3 lignes.
- le manque de profondeurs pour certains passages. On sent que le récit aurait facilement pu faire 200 pages de plus si Gemmell avait pris le temps de détailler plus longuement certaines relations, des détails sur l'Histoire Drenaï, sur plusieurs aspects général de l'Histoire qu'à créé le Maître Gemmell.
Pour résumer, un livre très sympa, très addictif, un anti-héros venimeux dans ses propos mais auquel on arrive à s'attacher au fil des pages, des personnages hauts en couleur comme la rousse Danyal ou le général Karnak, des monstres comme le cyclope Kaï ou les hommes-loups, des races différentes, des combats, des meurtres, des confréries, mais un manque de profondeur et des répétitions qui sont gênantes par instants, et aussi les changements trop rapides et radicaux des lignes de conduite des personnages. Cela n'a en rien altéré une excellente lecture. J'ai vraiment hâte de replonger dans le monde bâti par Monsieur Gemmell.
Un dépucelage littéraire enfin arrivé et ce fut un plaisir. Je peux comprendre que beaucoup d'auteurs s'inspirent du Papa G. pour leurs histoires, même si ce volume n'est pas le meilleur.
Pour débuter, nouvelle édition STAR, je me fais un kiffe façon chronologie. Waylander étant le premier livre du cycle Drenaï sur la ligne du temps.
L'histoire proprement dite, beaucoup l'ont déjà résumée. En gros, les peuples Drenaï sont à l'agonie, ils se font bouter hors de leurs terres et massacrés par les Vagrian. Un assassin qui n' a rien demandé à personne se retrouve propulsé dans une mission sauvetage de la veuve et de l'orphelin, guidé par un prêtre qui passe du statut de profond croyant végétalien à un statut de guerrier angélique argenté découpant les méchants sous forme éthérée.
Le pitch paraît saugrenu, mais il y a de la qualité dans ce bouquin, tout comme des défauts.
Les + :
- Beaucoup d'action, peut de temps mort. On aime ou on aime pas mais je pense personnellement que cela accélère le rythme de la lecture.
- Pas mal de personnages secondaires, plus ou moins importants, avec pour chacun une personnalité bien dessinée.
- Des combats épiques, des monstres, du sang et des entrailles, que demande le peuple ?
- Un récit relativement court et accessible à tous.
- de l'héroïsme, de la haine, de l'amour, de l'amitié,...
- La fin est un bordel sans nom qui donne bien un aperçu de la suite des aventures de l'Assassin.
les - :
- le passage trop brutal des sentiments des uns et des autres. Waylander devient en quelques pages le défenseur des faibles et des innocents alors que pendant 20 ans il tuait n'importe qui pour quelques pièces. Pareil pour le prêtre Dardalion (même si son changement d'état n'est pas entièrement de sa faute). le chasseur qui poursuivait Waylander et Durmast un ami-assassin eux aussi changent du tout au tout et aident l'anti-héros à passer outre les pires épreuves.
- La facilité avec laquelle Waylander se défait de certaines situations.
- le manque de détails dans certaines scènes de batailles où le héros se retrouve blessé mais on ne le mentionne à aucun moment avant.
- Waylander n'a aucun ami depuis 20 ans et en 200 pages il s'est fait plus d'amis que dans toute sa vie.
- Des répétitions répétitives à répétitions pour certains passages. On retrouve parfois le nom de Dardalion 3x d'affilées sur 3 lignes.
- le manque de profondeurs pour certains passages. On sent que le récit aurait facilement pu faire 200 pages de plus si Gemmell avait pris le temps de détailler plus longuement certaines relations, des détails sur l'Histoire Drenaï, sur plusieurs aspects général de l'Histoire qu'à créé le Maître Gemmell.
Pour résumer, un livre très sympa, très addictif, un anti-héros venimeux dans ses propos mais auquel on arrive à s'attacher au fil des pages, des personnages hauts en couleur comme la rousse Danyal ou le général Karnak, des monstres comme le cyclope Kaï ou les hommes-loups, des races différentes, des combats, des meurtres, des confréries, mais un manque de profondeur et des répétitions qui sont gênantes par instants, et aussi les changements trop rapides et radicaux des lignes de conduite des personnages. Cela n'a en rien altéré une excellente lecture. J'ai vraiment hâte de replonger dans le monde bâti par Monsieur Gemmell.
