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Waylander tome 1 sur 4

Alain Névant (Traducteur)
EAN : 9782811200329
448 pages
Bragelonne-Milady (02/10/2008)
  Existe en édition audio
4.12/5   946 notes
Résumé :
Le Roi de Drenaï a été assassiné. Une armée d’envahisseurs déferle sur le pays, avec pour mot d’ordre de tuer hommes, femmes et enfants. Mais tout espoir n’est pas perdu. Il repose sur les épaules de celui que la nation surnomme Waylander. Seul, il va s’aventurer en territoire nadir pour retrouver la célèbre Armure de Bronze, symbole de liberté.
Mais peut-on faire confiance à ce Waylander ?...
Après tout, c’est lui qui a assassiné le roi.
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Critiques, Analyses et Avis (102) Voir plus Ajouter une critique
4,12

sur 946 notes
John McClane, dans ses films, se promenait avec deux flingues en main, mais Waylander fait mieux que lui : une arbalète à deux arcs ! Plus complexe pour dézinguer et pas de chargeur ou de viseur infrarouge. John McClane peut aller se rhabiller !

C'est un mec, Waylander, un vrai, tout de noir vêtu (du cuir, huum), assassin à ses heures perdues (c'est son job, en fait, et sa petite entreprise ne connait pas la crise) usant de tous les stratagèmes possibles et imaginables pour arriver à éliminer ses victimes (des notables), désignées par contrats.

Waylander, c'est mises à mort, trahisons, magouille et compagnie... Drenaï, ton univers impitoyable. de plus, il fait son job correctement : il est plus silencieux qu'une ombre, il ne parle pas beaucoup et est implacable. C'est du satisfait ou remboursé.

Aie, catastrophe, le Roi de Drenaï a été assassiné ! Les Vagrians, une bande d'envahisseurs, déferlent sur le pays telles des tiques sur le dos d'un chien, avec, pour ordre de pilier et envahir le pays, sans oublier de tuer hommes, femmes et enfants au passage, dans l'ordre ou le désordre, mais d'épargner quelques femmes, s'ils veulent se soulager... Charmant.

Et pendant que ça gerroie au loin, Waylander croise la route de Dardalion et lui sauve même la vie. Un assassin qui sauve une vie ? Peut pas être tout à fait mauvais, le bougre ! Déjà qu'il n'occis jamais des femmes et des enfants. Réglo.

Dardalion, c'est un prêtre de la Source et on peut dire que c'est lui qui sera à l'origine de tout ce qui va arriver à Waylander dans ce premier tome.

Dardalion lui colle aux basques et ils vont bien vite se retrouver empétré dans cette foutue guerre entre Drenaï et les Vagrians.

Ben oui, une guerre, c'est le bordel et vu que les Vagrians ont envahis les Drenaï, ça chauffe !

Pour sauver le royaume, il faudrait retrouver la mythique Armure de Bronze... (et là un type se met à chanter dans ma tête : "les chevaaaliers du Zodiaaaque, s'en vont toujours à l'attaque..." ce qui me fait dire que je suis irrécupérable).

Cette protection magique est cachée dans une grotte en territoire Nadir. Pas trop complexe. Quoi ? Elle est remplie de loups-garous ? Waylander va avoir du mal à récupérer le catalyseur de l'espoir de Drenaï.

Au fait, vous savez qui a assassiné le roi Drenaï ? Non ? J'vous l'donne en mille : Waylander ! Et c'est à lui qu'on demande de sauver l'bazar ?

Gemmel ne fait jamais ses héros irrécupérable et Waylander ne fera pas exception.

Puisqu'il a été "touché" (pour ne pas dire infecté) par la pureté de Dardalion, le prêtre de la Source qu'il a sauvé, il accepte la mission, confié par le fantôme du père de sa précédente victime.

Oui, nous sommes bien dans du Gemmel ! C'est classique chez lui : les héros sont torturés, hanté par leur passé, avec des blessures secrètes, bien souvent causées par une femme qu'ils ont perdu (partie, enlevée ou morte assassinée) et qu'ils aimaient plus que tout.

Une fois de plus, le héros, en tuant le roi, a commis un meurtre qui s'avère être le meurtre de trop, celui qui lui fait prendre conscience que tuer c'est MAL, ça le fait vomir sur son existence, il se découvre un âme et réveille sa conscience qu'il croyait avoir laissé en gage au Mont de Piété ou à la consigne d'une gare.

Chez Gemmel, l'héroïsme est magnifié, par contre, les scènes de combats sont un peu pâlottes alors que nous sommes en pleine guerre. A croire que les guerriers furent passé dans un programme informatique qui a généré une armé de clones. Ma déclaration fiscale a plus d'épaisseur qu'eux.

Pire, Gemmell ne décrit pas son décor, du coup on doit faire le travail sois-même. Dommage. Une carte en début de roman n'aurait pas été du luxe.

Malgré ses défauts, Waylander est un personnage qui m'a bien plu.

Bien que froid et distant dès le départ, il changera au fil du roman et des deux autres tomes.

Sa rencontre avec Dardalion nous a changé l'assassin sociopathe en un homme plus ouvert aux autre et l'on découvrira que, sous cette carapace de tueur sans pitié, se cache en fait un homme qui n'attend plus rien de la vie, ayant déjà tout perdu.

D'accord, cela ne l'excuse pas ! le fait d'avoir tout perdu n'efface pas ses crimes, mais on comprend le cheminement : il n'avait rien d'un méchant, il a tout perdu et son premier crime de vengeance en a entrainé un autre et ainsi de suite. Après, il est trop tard. Un peu comme Druss.

Le seul bémol dans l'histoire fut sa relation avec Danyal. Trop guimauve, on aurait pu s'en passer largement ou alors, il aurait fallu changer un peu le personnage de cette femme, la creuser un peu plus, la rendre moins "roquet agressif". Mais bon, un détail.

Dardalion, le prête de la Source, est plus travaillé. Lui aussi il a évolué, comme Waylander, mais dans le sens inverse. Si le loup s'est fait agneau, l'agneau a fait pousser ses crocs. Il est devenu un Prêtre-guerrier.

Pour résumer, malgré ses défauts, le roman est intéressante et lire du Gemmel m'a toujours fait du bien, même si à la fin, les trames restent semblables.

Ce que j'aime, c'est que son héros doit s'impliquer - un peu malgré lui - dans cette guerre où il n'a rien à faire, changeant petit à petit et devenant plus humain.

Un peu comme Stanislas Lefort (de Funès) dans le film "La grande vadrouille" qui se retrouve, lui aussi, imbriqué dans une histoire dont il n'en a que faire et bien obligé de s'impliquer alors qu'il comptait se la couler douce tout en faisant des ronds de jambe devant l'ennemi.

C'est ça que j'aime ! le héros qui n'en est pas toujours un, avec ses faiblesses, ses défauts.

Sans compter ce que j'apprécie aussi par-dessus tout : les passages où Waylander flingue des gens plus vite que son ombre, dégainant son arbalète, lançant ses dagues... Paf, paf !

"T'es mort et tu ne le sais pas encore" (les fans auront reconnu la citation tirée de Ken - pas le mari de Barbie - mais le Survivant).

Oui, je suis une lectrice avide d'élimination de son prochain.


Lien : http://the-cannibal-lecteur...
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Waylander est le troisième livre par ordre de parution dans l'univers de Drenaï, mais le premier dans l'ordre chronologique.
Dros Delnoch n'est encore qu'une passe, sans forteresse. Drenaï est en déroute face aux chiens du chaos, envahisseurs Vagrians, cette fois venus du sud.
L'armée Drenaï, dirigée par Egel est en plein désarroi, une force condamnée à une ultime défaite ?
NON, car Waylander est là.:-)

Dès le premier chapitre d'introduction le personnage est posé ; puissant, efficace, impitoyable, mais humain et capable de miséricorde. Assassin de métier en quête de rédemption, il va accepter la quête de la célèbre Armure de bronze qui sauvera les Drenaï.

Nous assisterons encore à du siège désespéré. Dieux que Gemmell aime ces sièges où l'héroïsme est magnifié et Dieux que nous les aimons nous aussi. Certes, on a une grosse impression de redite, mais le style toujours aussi efficace et direct, le sang versé sur l'autel des braves remplit parfaitement son office.

Toujours les mêmes grosses ficelles, des situations désespérées qui se retournent grâce à une précédente bonne action, le deus ex machina n'a jamais aussi bien fonctionné qu'ici. Mais en ce qui me concerne, cela continue de fonctionner et je prends toujours autant de plaisir à cette lecture.

Le même défaut que dans les précédents tomes : La première femme rencontrée par le héros est toujours la bonne, elle est jeune, jolie, a toutes les qualités et elle aura une belle histoire d'amour avec le héros. On ne va pas s'encombrer de personnages secondaires féminins ; La guerre ne serait-elle qu'une histoire d'homme ? Oui, visiblement selon Gemmell.

Bref, un bon moment de lecture, on sait à quoi s'attendre et on n'est pas déçu.
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Bon je ne vais pas tourner autour du pot pour un livre avec lequel j'ai déjà perdu trop de temps, je regrette juste de n'avoir pas lu la critique d'Alfaric avant d'acheter ce premier tome. J'ai pris une semaine pour lire les 400 pages que forment ce premier tome et si je ne pas dire m'être ennuyé, je ne peux pas non plus dire que celui-ci m'a passionné.

Je suis très déçu de cette lecture, après avoir lu autant de bien sur Gemmell je m'attendais à passer une très chouette lecture, pour finir j'ai trouvé celle-ci plutôt médiocre dans l'ensemble. L'intrigue n'a rien d'extraordinaire en elle-même et ne m'a pas transporté, c'est dommage car il y a pourtant de bonne idée dans celle-ci mais pas assez/mal exploité, cela va vite on passe d'un personnage à l'autre sans logique toujours apparente, les personnages de Dardalion et ce fameux Waylander semble changer de comportement comme il change de chemise, et j'ai surtout parfois trouvé le tout très creux notamment lors des dialogues tel que ce dernier :

« - Je ne suis pas venu ici pour te tuer. Je suis ce que je prétend être.
- Alors tu étais prêtre ?
- Je suis toujours prêtre !
- Je sens la mort sur toi. Tu as tué.
- Oui. Un méchant homme
- Qui est-tu pour juger ?
- Je ne l'ai pas jugé – ses actions l'ont fait pour lui. »

blablabla celui-ci s'étale sur deux pages, sans intérêt aucun. En bref une déception pour moi avec ce premier tome. Après je me dis que celui-ci peut plaire notamment au néophyte de ce genre car le tout est très accessible, reste malgré ses défauts tout de même cohérents et fonctionne même si pour moi ce n'est clairement pas un chef-d'oeuvre. En espérant que les 2 tomes suivants soient mieux.
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Apparemment je ne commence pas ma découverte de David Gemmell par son meilleur titre mais waylander me tendait les bras dans un magasin de destokage. Difficile de résister.

Et finalement ça a plutôt bien marché pour moi. Tous les ingrédients sont là : un héros qui semble invincible et qui au départ est un méchant mais parce qu on lui a fait du mal ( faut suivre ), une guerre impitoyable, des situations désespérées, des combats à coup de hache, les muscles bandés , la sueur dégoulinant sur les biceps des valeureux guerriers... ( oh oh j ai pris un coup de soleil sur mon transat je dérape !!!!)
Une quête : trouver l armure de bronze
Une jeune femme en détresse
Des méchants qui se rachètent lors d une dernière et enfin bonne action.
Beaucoup de morts, aucun répit.
Un peu plus de romance m aurait plu mais en temps de guerre et investi d une mission on comprend bien que waylander ait autre chose à faire.
J ai bien aimé aussi le personnage du prêtre.
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J'ai lu tous les Gemmell. Je les ai tous adorés : celui-ci fait exception à la règle ! A mi-chemin entre le western et le péplum, DG se lance grosso modo dans la fantasy à capuche 15 ans avant tout le monde… mais avec beaucoup de maladresses tant sur la forme (action non stop) que sur le fond (deus ex-machina à répétition). Constitué à 90% de scènes d'actions qui s'enchaînent sans aucun temps mort, on peut adorer comme être rapidement saoulé. On peut y voir l'influence des films eighties, mais on peut aussi y voir un roman mal pensé et donc au final mal exécuté. AMHA un DG dispensable et c'est bien dommage car souffle épique et morceaux de bravoure étaient présents quand même.

Dès le prologue des visions, des prophéties, un Elu… S'il cela avait été un autre que Gemmell, je me serais arrêté là ! Et côté psychologie cela évoluent tellement rapidement et radicalement que cela en est presque ridicule :
- Waylander passe de Voleur d'Âmes à preux chevalier en quelques pages
- Dardalion passe de bouddhiste zen à templier vengeur en quelques pages
On retrouvait les mêmes relations dans l'excellentissime western "Le Dernier face à face" où un universitaire tuberculeux se laissait contaminer par la violence d'un hors-la-loi analphabète, lui-même contaminé par l'humanisme de son prisonnier, mais avec une finesse psychologique stratosphérique par rapport à ce roman.

On retrouve le style maladroit des débuts de "Légende" mais en pire : on passe d'une scène à l'autre en alternant action et palabre sans aucune transition, bref cela manque cruellement de liant voire de consistance et je peine à reconnaître l'auteur qui m'a séduit avec ses personnages et ses ambiances douces-amères dans ses oeuvres postérieures ("Lion de Macédoine", "Rigante", "Troie"…).

La quête de l'Armure de Bronze en territoire nadir ressemble à s'y méprendre à une aventure western : c'est très cool ! le siège de Dros Purdol fait alterner moments d'héroïsme et moments de désespoir : c'est très cool ! Mais si les 2 fils directeurs se laissent bien lire séparément, ils forment un tout plutôt brouillon et décousu… Sans parler de l'épilogue qui m'a laissé comme celui de "Qushmarrah" de Glen Cook un goût amer : on a l'impression de passer à côté d'une grande saga qui n'a pas été écrite tant les pistes ouvertes semblaient prometteuses.

Il y a une foultitude de personnage secondaires assez intéressants (on retrouvera quasiment tel quel les trouffions de Dros Purdol dans "Troie" où les soldats thraces ressemblent beaucoup aux soldats vagrians) : c'est assez frustrant qu'ils n'aient pas été développés car l'auteur préfère se concentrer sur un Dakeyras en pleine crise d'identité mais ce dernier n'est qu'un prototype de Jon Shannow (nettement plus travaillé et donc nettement plus abouti).

Pour le reste la magie gemmellienne fait quand même son oeuvre : embuscades, escarmouches, poursuites et cavales, infiltrations et assassinats, batailles et sièges désespérés… avec ici et là des pépites d'humanité qui tirent la larme à l'oeil. Ce qui m'a bien soûlé par contre c'est tous ces quasi deus ex-machina pour dénouer les pétrins dans lequel l'auteur fourgue régulièrement Waylander qui nous font dépasser la frontière de la suspension d'incrédulité !!!

Le livre accuse son âge non dans l'absolu mais dans sa position dans la bibliographie de l'auteur : dans la même niche, "Loup Blanc" par exemple lui est nettement supérieur sur tous les plans ! Mais c'est peut-être aussi l'esprit d'une époque (le livre est sorti en 1986) : je retrouve dans ces premiers Gemmell le manga "Hokuto no Ken" avec son univers violent et désespéré où les assassins vengeurs alternent bastons et palabres pour défendre la veuve et l'orphelin, rétablir la paix et la justice sur terre tout en trouvant la rédemption dans les bras de leur dulcinée !
Sans parler des méchants qui se sacrifient pour le gentil et des femmes au fort caractère piégée dans le rôle réel ou symbolique de demoiselles en détresse…
Lien : http://david-gemmell.frbb.ne..
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Citations et extraits (53) Voir plus Ajouter une citation

Lorsqu'ils furent partis, Kaem convoqua Dalnor. Le jeune officier rentra et Kaem lui offrit un siège.
Xertes rentre chez lui, l'informa Kaem
J'ai cru le comprendre, mon seigneur.
C'est un voyage dangereux.... Beaucoup de choses pourraient arriver.
Certes mon général.
Il pourrait croiser la route de Waylander l'Assassin, ne croyez-vous pas ?
Tout à fait possible mon général.
L’Empereur serait navré d'apprendre qu'un tel homme ait pu tuer un Vagrian de sang royal.
A n'en pas douter, mon général. Il utiliserait toutes les ressources dont il dispose pour que cet homme soit pris et tué.
Nous devons alors nous assurer que rien de tel n'arrive au jeune Xertes. Veillez à ce qu'on lui octroie une bonne escorte.
Je m'en occupe, mon seigneur.
Et, Dalnor...
Oui mon général ?
Waylander utilise une petite arbalète et des carreaux en fer noir.
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- Dites-moi, Orien, jusqu'à quel point êtes-vous mystique ?
- Comment cela ?
- Pouvez-vous voir dans le futur ?
- En partie, admit Orien.
- Quelles sont mes chances de succès ?
- Cela dépendra de qui t'accompagne.
- Eh bien, disons si la Source me choisit les bon compagnons ?
Le vieil homme frotta ses orbites vides et s'allongea.
- Alors nous dirons que tu n'as aucune chance.
- C'est bien ce que je pensais.
- Mais ce n'est pas une raison pour refuser.
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Lorsqu’ils furent partis, Kaem convoqua Dalnor. Le jeune officier rentra et Kaem lui offrit un siège.
— Xertes rentre chez lui, l’informa Kaem.
— J’ai cru le comprendre, mon seigneur.
— C’est un voyage dangereux... Beaucoup de choses pourraient arriver.
— Certes, mon général.
— Il pourrait croiser la route de Waylander l’Assassin, ne croyez-vous pas ?
— Tout à fait possible, mon général.
— L’Empereur serait navré d’apprendre qu’un tel homme ait pu tuer un Vagrian de sang royal.
— À n’en pas douter, mon général. Il utiliserait toutes les ressources dont il dispose pour que cet homme soit pris et tué.
— Nous devons alors nous assurer que rien de tel n’arrive au jeune Xertes. Veillez à ce qu’on lui octroie une bonne escorte.
— Je m’en occupe, mon seigneur.
— Et, Dalnor...
— Oui, mon général ?
— Waylander utilise une petite arbalète et des carreaux en fer noir.
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Aujourd'hui il allait mourir.
Aujourd'hui il allait trouver la paix.
Au loin, il vit un nuage de poussière venir en direction de Roboas. Beaucoup de cavaliers galopaient vers la montagne, mais Waylander s'en moquait.
C'était son jour de gloire. Cette heure de beauté était la sienne.
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- Vous avez parlé des prêtres qui sont morts et vous avez dit qu'ils avaient péri parce qu'ils n'avaient pas eu le courage d'enlever leur robe. Qu'est-ce que vous vouliez dire ?
- N'est-ce pas évident ?
- Il me semblerait plutôt qu'il faut faire preuve d'un grand courage pour mourir pour ses convictions, répondit Dardalion.
Waylander se mit à rire.
- Du courage ? Il ne faut pas de courage pour mourir. En revanche, il faut du cran pour vivre.
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Gemmell l'homme qui a changé le point de vue que l'on peut avoir de la Fantasy ;)
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