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Critique de majero
Mon premier Elisabeth George... et j'ai 'patiemment' attendu la fin, comme si j'avais du boire un grand seau de thé trop clair.
Qui kidnappe de jeunes londonniens et les tue après leur avoir brûlé les mains?
On suit tranquilement le cheminement de Linley et Barbara de suspect en suspect, à chaque fausse victoire succédant une déception, cheminement dans lequel alterne avec équilibre les petites histoires de Barb et sa voisine, la tenue de baptème de Linley junior, la copine de Nkata, et les grossières caricatures du chef incompétent ou de flics mysogines et snobant le profileur, cheminement erratique même pas soldé par une vidéosurveillance du meurtre de la femme de Linley.
Pouquoi seulement 1000 pages, et pas 2000 ou 5000? Mais tant qu'a lire une brique, je préfère une saga historique à la Ken Follett.
Qui kidnappe de jeunes londonniens et les tue après leur avoir brûlé les mains?
On suit tranquilement le cheminement de Linley et Barbara de suspect en suspect, à chaque fausse victoire succédant une déception, cheminement dans lequel alterne avec équilibre les petites histoires de Barb et sa voisine, la tenue de baptème de Linley junior, la copine de Nkata, et les grossières caricatures du chef incompétent ou de flics mysogines et snobant le profileur, cheminement erratique même pas soldé par une vidéosurveillance du meurtre de la femme de Linley.
Pouquoi seulement 1000 pages, et pas 2000 ou 5000? Mais tant qu'a lire une brique, je préfère une saga historique à la Ken Follett.
