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Critique de karkarot
Louis Gernet, normalien, sociologue, philosophe, juriste est l'un des penseurs les plus importants de la Grèce antique de son époque.
Sont ici rassemblés des articles publiés entre 1928 et 1957 sur des thématiques très diverses mais toutes reliées par un point: Il s'agit d'analyser à la façon d'un anthropologue un point de la civilisation grecque antique.
Les mythes, les institutions, le droit des cités, les livres sont ainsi décortiqués pour explorer la société de la Grèce antique.
Gernet cherche donc tout ce qui fait de l'homme Grec un être différent de ce que nous connaissons aujourd'hui. Sans haine ni amour il dessine les contours d'un monde qui nous paraît comme fondateur du nôtre mais est en réalité très différent.
Louis gernet s'attache donc surtout à décrire des évènements de rupture dans la Grèce archaïque et classique, moments important et fondateur de la société pour la décrire et l'analyser.
Il accorde beaucoup d'importance à l'apparition du juridique dans la cité, le passage d'un "droit" mythique à un corpus plus rationnel. C'était le sujet de sa thèse et il poursuit dans nombre des articles présentés ici ces recherches en ce sens.
L'ensemble est passionnant, souvent ardu à lire car pointu et destiné à un public averti du début du siècle où le grec et l'hellénisme était peut être plus répandu, mais très intéressant.
Toutes les études sont maintenant dépassées et on les lira surtout pour le côté historiographique ou pour débuter soi même une étude sur un thème précis ; ou tout simplement par curiosité, par passion.
Sont ici rassemblés des articles publiés entre 1928 et 1957 sur des thématiques très diverses mais toutes reliées par un point: Il s'agit d'analyser à la façon d'un anthropologue un point de la civilisation grecque antique.
Les mythes, les institutions, le droit des cités, les livres sont ainsi décortiqués pour explorer la société de la Grèce antique.
Gernet cherche donc tout ce qui fait de l'homme Grec un être différent de ce que nous connaissons aujourd'hui. Sans haine ni amour il dessine les contours d'un monde qui nous paraît comme fondateur du nôtre mais est en réalité très différent.
Louis gernet s'attache donc surtout à décrire des évènements de rupture dans la Grèce archaïque et classique, moments important et fondateur de la société pour la décrire et l'analyser.
Il accorde beaucoup d'importance à l'apparition du juridique dans la cité, le passage d'un "droit" mythique à un corpus plus rationnel. C'était le sujet de sa thèse et il poursuit dans nombre des articles présentés ici ces recherches en ce sens.
L'ensemble est passionnant, souvent ardu à lire car pointu et destiné à un public averti du début du siècle où le grec et l'hellénisme était peut être plus répandu, mais très intéressant.
Toutes les études sont maintenant dépassées et on les lira surtout pour le côté historiographique ou pour débuter soi même une étude sur un thème précis ; ou tout simplement par curiosité, par passion.
