>
 |
Critique de gill
"Dans un fauteuil" est une pièce de théâtre en un acte qui fut représentée en décembre 1906 sur la scène, impasse Chaptal, du théâtre du Grand-Guignol.
C'est une courte comédie, malicieuse et très rapide.
Le rideau se lève sur une petite boutique d'herboristerie.
Sa patronne, madame Goyaud, est en fait le bookmaker du quartier.
Elle prend les paris pour toutes les courses et pour toutes sortes de clients.
Madame Calèche, la femme de ménage, et madame Pige, la femme aux sinapismes, le boucher, dont la voix résonne dans la coulisse, en sont les trois meilleurs exemples.
Mais une descente de la police représentée, en l'occasion, par monsieur Pessaire, le commissaire de l'arrondissement, son secrétaire et un agent de la brigade des jeux, vient troubler tout ce petit monde suspendu au résultat de la première !
Morticole ou Pasiphaé ? Pasiphaé ou Morticole ?
Cette petite pièce, qui fait immanquablement penser à du Courteline, est une fable et sa morale en serait peut-être juste un conseil donné à Madame Goyaud.
Celui de ne jamais étouffer un pari !
La lecture de ce petit acte est un bon moment sans importance, un délassement qui amène le sourire mais dont on oublie vite l'existence.
C'est une courte comédie, malicieuse et très rapide.
Le rideau se lève sur une petite boutique d'herboristerie.
Sa patronne, madame Goyaud, est en fait le bookmaker du quartier.
Elle prend les paris pour toutes les courses et pour toutes sortes de clients.
Madame Calèche, la femme de ménage, et madame Pige, la femme aux sinapismes, le boucher, dont la voix résonne dans la coulisse, en sont les trois meilleurs exemples.
Mais une descente de la police représentée, en l'occasion, par monsieur Pessaire, le commissaire de l'arrondissement, son secrétaire et un agent de la brigade des jeux, vient troubler tout ce petit monde suspendu au résultat de la première !
Morticole ou Pasiphaé ? Pasiphaé ou Morticole ?
Cette petite pièce, qui fait immanquablement penser à du Courteline, est une fable et sa morale en serait peut-être juste un conseil donné à Madame Goyaud.
Celui de ne jamais étouffer un pari !
La lecture de ce petit acte est un bon moment sans importance, un délassement qui amène le sourire mais dont on oublie vite l'existence.
Acheter ce livre sur
