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Critique de MozzaBasilic


La Seconde Guerre Mondiale aurait été entamée et poursuivie par les Allemands sur une idéologie certes, dans un climat économique et social complexe, mais aussi sur des bases occultes : la recherche et le rassemblement de swastikas « sacrées » éparpillées dans le monde.

Second volet de la trilogie uchronique du Soleil Noir, « la nuit du mal » continue de nous tenir en haleine avec la poursuite de la recherche d'une swastika par le SOE (Special Operations Executive) avec à sa tête toujours le commander Malorley. Les swastikas sont des reliques qui donneraient à son détenteur un pouvoir immense. le camp du Bien, les Alliés contre le camp du Mal, ceux de l'Axe. On va également suivre, dans les grandes lignes l'ascension du Führer, de ses échecs aux Beaux-Arts à la chancellerie et nous permettre d'entre-apercevoir la métamorphose de cet homme, de sa psychologie à la construction de ses idéologies.

Comme dans le précédent tome les auteurs Éric Giacometti & Jacques Ravenne jouent avec des personnages historiques tout en infusant des personnages de fiction MAIS inspirés de personnes ayant existé. Nous introduire Aleister Crowley, maître occultiste, dans cette histoire rocambolesque ainsi que Ian Fleming (l'auteur de 007) m'a particulièrement plus. Et contrairement au premier volet de la saga, je n'ai pas trouvé que l'histoire était du « déjà-lu » (cf. ma critique du « le triomphe des ténèbres »).

J'ai hâte de poursuivre la prochaine mission du SOE dans cette innommable guerre avec le dernier tome « la relique du chaos ».
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