« Rebondissant sur la selle de mon vélo, pédalant aussi vite que possible, je fuis d'une voie à l'autre sans tenir compte de la circulation en sens inverse. La poussière emplit mes poumons. Dans un passage souterrain abandonné où s’entrechoquent asphalte fissuré et terre battue, les colonnes grises défilent comme les dents cassées d'un vieux peigne gras. L’odeur fétide des centaines de tas d'excréments blanc et gris des pigeons rivalise avec la pourriture de leurs p... >Voir plus