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Critique de som
4e et ultime partie de la saga consacrée à Philippe, ce quinqua tour à tour charmant, dépressif, amoureux, cadre au chômage, coiffeur dans les TGV ou libraire.
Toujours un peu à côté de ses pompes et de sa vie, le voilà confronté à une tempête qui emporte tout sur son passage et surtout son équilibre précaire.
Laissant un peu plus de place au collectif que dans les précédents, cet album s'attache à capter les espoirs passés ou présents de la petite communauté villageoise pour mieux en restituer ses doutes et ses peines.
Cependant, ce que l'histoire gagne en surface, elle le perd en densité et en émotion. Une façon peut être de se détacher de ce anti-héros afin de le laisser partir sans regret.
Toujours un peu à côté de ses pompes et de sa vie, le voilà confronté à une tempête qui emporte tout sur son passage et surtout son équilibre précaire.
Laissant un peu plus de place au collectif que dans les précédents, cet album s'attache à capter les espoirs passés ou présents de la petite communauté villageoise pour mieux en restituer ses doutes et ses peines.
Cependant, ce que l'histoire gagne en surface, elle le perd en densité et en émotion. Une façon peut être de se détacher de ce anti-héros afin de le laisser partir sans regret.
