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Critique de Luria


De profondis, clamavi :
Diable que cette expérience fut pourrie !
(Je suis une icône Teleramouette, je suis Grrr)

Parce que voilà, je l'ai lu entièrement hier, happée par le style de l'autrice.
Sauf que c'est tout de suite devenu tellement gros que ça en était invraisemblable
A tel point que je me suis dit, c'est Machin.

Forcément.

Et à partir de là, toute tentative de noyer le poisson, disséminer les soupçons, m'a paru vain, grossier, mal amené. Comme si ce livre avait écrit à la va-vite, avec un tableau excel, pour relier tous les personnages. Oui voilà on voyait les ficelles.
Le style même s'est appauvri, j'ai eu l'impression que ce n'était pas l'auteur du début qui avait continué le bouquin, pour fournir des dialogues, des dia...

"- Oh Jean-Mimi que je t'aime. Trop.
- Moi aussi Madguelone, c'est puissant mais impossible. Je te dirai pourquoi à la page 253. Alors en attendant je vais trousser Colette."

Et le pire !
C'était que c'était bien Machin.
Le mechantpasgentilpasbien.
Que j'ai fini bien tard cette lecture de Lapalice
Que j'ai pesté mes rêves amputés pour si peu
Que... c'est le deuxième de Karine Giebel que je lis et décidément l'alchimie ne passe pas, et là d'avantage quand de sa plume elle prend ses lecteurs pour des idiots pour servir un plat aussi peu élaboré.
Il faut enlever les ficelles du rôti de mots avant de le manger, bowdel !
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