Harald Gilbers est de la même veine que
Philip Kerr, très documenté mêlant Histoire et fiction avec brio, ce quatrième roman des aventures du commissaire Oppenheimer est une réussite.
On ressent à travers ce roman la vie des Berlinois après la guerre en 1946, les privations, la survie de chacun dans une ville en ruines, la faim, la peur, le froid, la dénazification, l'injustice... Des milliers d'Allemands n'y survivront pas.
J'ai hâte de lire la suite...
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