A croire que ces chants de nature se reposent de nos crédulités d'hommes.
Hommes trop naïfs de nos certitudes et de ces espoirs de lendemains que l'on se créée .
Bercés par nos rêves de réussites et de conforts, quels conforts ?
Ceux d'être mieux assis au chaud et de ne plus voir les autres qui nous sont devenus si lointains depuis lors.
Détours à connaître dans une méditation devenue toujours aussi actuelle qu'hier.
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