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Critique de hannah851
Ce quatrième opus de la série "Intrigue à...." est une lecture parfaite pour l'été. Adrien Goetz démontre encore une fois qu'il n'est pas en panne d'imagination mêlant avec brio la fiction et la réalité, les faits historiques et le monde de l'art. Pour cette nouvelle enquête, Adrien Goetz choisit de s'intéresser au très charismatique chef de file du mouvement des impressionnistes, Claude Monet. Aurait-il joué un rôle d'espion lors de la Première Guerre mondiale à la demande de Clemenceau?
Tout commence lors de la disparition mystérieuse de deux expertes du peintre lors d'un dîner d'inauguration d'une nouvelle exposition au musée Marmottan-Monet auquel assiste Pénélope. L'une est retrouvée morte le lendemain et la seconde, soeur Marie-Jo, aperçue à Monaco par Wandrille. Ce dernier est en reportage pour son nouveau magazine "Jardin, jardin". le mariage de Charlène et du prince Albert doit avoir lieu dans quelques jours et ces disparitions étranges complique l'attribution d'un tableau inconnu à Monet que les proches des futurs mariés veulent leur offrir. Une course contre la montre s'engage alors pour Wandrille et Pénélope afin de retrouver soeur Marie-Jo, découvrir la nature du lien unissant Monet et Clémenceau mais aussi percer le secret de ce tableau mystérieux avant le jour J.
Entre Paris, Monaco, Giverny, le lecteur est propulsé dans la vie du plus célèbre des peintres français. On apprend beaucoup sur ses voyages, ses amours, sa famille, ses oeuvres mais aussi la renaissance et la sauvegarde de Giverny et sur l'histoire du musée Marmottan. Pénélope et Wandrille nous font également découvrir le monde du marché de l'art où jalousie, exclusivité, appât du gain et ambition sont de mises avec des experts, des commissaires-priseurs pas toujours honnêtes.
Si l'enquête a de quoi intéresser et captiver, l'auteur démontrant sa connaissance du monde de l'art et des institutions culturelles françaises, il est dommage qu'il ne donne pas plus de chair à ses personnages. Cette jeune conservatrice détective passe son temps loin de son bureau sans jamais se faire reprendre par sa hiérarchie et ne semble pas rattraper ses heures. Elle se pâme devant un mariage princier tandis que son fiancé, un dandy parisien, rêve de devenir auteur mais sans avoir la volonté de passer réellement à l'acte. Il est aussi dommage que l'auteur ne tente pas une critique sur la pratique des hauts fonctionnaires au Mobilier national ou sur le train de vie monégasque dont il décrit cependant les pratiques.
Tout commence lors de la disparition mystérieuse de deux expertes du peintre lors d'un dîner d'inauguration d'une nouvelle exposition au musée Marmottan-Monet auquel assiste Pénélope. L'une est retrouvée morte le lendemain et la seconde, soeur Marie-Jo, aperçue à Monaco par Wandrille. Ce dernier est en reportage pour son nouveau magazine "Jardin, jardin". le mariage de Charlène et du prince Albert doit avoir lieu dans quelques jours et ces disparitions étranges complique l'attribution d'un tableau inconnu à Monet que les proches des futurs mariés veulent leur offrir. Une course contre la montre s'engage alors pour Wandrille et Pénélope afin de retrouver soeur Marie-Jo, découvrir la nature du lien unissant Monet et Clémenceau mais aussi percer le secret de ce tableau mystérieux avant le jour J.
Entre Paris, Monaco, Giverny, le lecteur est propulsé dans la vie du plus célèbre des peintres français. On apprend beaucoup sur ses voyages, ses amours, sa famille, ses oeuvres mais aussi la renaissance et la sauvegarde de Giverny et sur l'histoire du musée Marmottan. Pénélope et Wandrille nous font également découvrir le monde du marché de l'art où jalousie, exclusivité, appât du gain et ambition sont de mises avec des experts, des commissaires-priseurs pas toujours honnêtes.
Si l'enquête a de quoi intéresser et captiver, l'auteur démontrant sa connaissance du monde de l'art et des institutions culturelles françaises, il est dommage qu'il ne donne pas plus de chair à ses personnages. Cette jeune conservatrice détective passe son temps loin de son bureau sans jamais se faire reprendre par sa hiérarchie et ne semble pas rattraper ses heures. Elle se pâme devant un mariage princier tandis que son fiancé, un dandy parisien, rêve de devenir auteur mais sans avoir la volonté de passer réellement à l'acte. Il est aussi dommage que l'auteur ne tente pas une critique sur la pratique des hauts fonctionnaires au Mobilier national ou sur le train de vie monégasque dont il décrit cependant les pratiques.
