Premier auteur français à participer à l'aventure du gore made in Switzerland,
Nicolas Millié à placé son roman sous le signe du savant fou. Et dans le genre scientifique bien frappadingue, son docteur Grandiot se pose là. Digne successeur des Frankenstein et autre Jekyll, il ajoute à la mégalomanie de ses illustres prédécesseurs une bonne dose d'intégrisme religieux. Cela le conduit à se livrer non seulement aux expériences les plus douteuses mais aussi à recourir aux protocoles les plus extrêmes et les plus douloureux. L'abominable bonhomme entend en effet faire souffrir ses cobayes afin de leur rappeler que leur séjour terrestre est, ou devrait être, une vallée de larmes.
Une bonne partie du roman se déroule donc dans son laboratoire où deux hommes et une femme subissent non seulement ses traitements délirants mais aussi les sévices de son homme à tout faire.
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