Au début des années 80, Luc Mondry semble vouloir se délester de sa maîtrise formelle pour procéder à une sorte de réapprentissage de l’écriture ; il décide alors de se priver des réflexes habituels liés à l’usage de la main droite. Commence son aventure de la « peinture gauchère. De la main gauche, il s’essaie d’abord à inscrire des signes ténus, de sortes de biffures et d’accents qui fourmillent sur la totalité de la feuille : « des essaims de signes noies bourdon... >Voir plus