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Critique de ylambert7
Les Malgré Nous de la Kriegsmarine - Jean Noel Grandhomme
Un livre de réhabilitation.
Le sujet n'a rien d'anecdotique et vient combler un manque historiographique évident annonce François Cochet – professeur à l'Université de Metz. Bien entendu, il est aussi question des Malgré Elles.
Si certains étaient volontaires c'étaient pour choisir la Marine, plutôt que la Wehrmacht, mais avant d'y consentir, ils se cachaient, fuyaient, s'estropiaient, jusqu'à, et vous le savez, y être obligés, sinon la famille subissait des sanctions.
La Krigsmarine (Marine de guerre) avait encore de ses valeurs notamment l'interdiction du salut nazisme et du sauvetage des hommes à la mer après les batailles, malheureusement jusqu'en 1942.
Des témoignages de rescapés ont complété le livre de Jean-Noel Grandhomme et l'on pourrait encore et encore écrire des romans et scénariser leurs vies.
On y lit des atrocités perpétrées aussi bien par les Allemands que par les Russes dans le camp de Tambov, les erreurs de cibles des Américains ou des Anglais ; des résistants et des évadés ; du retour ; de ceux qui ont été attrapés en 8 ou 10 mai 1945 et qui ont été libérés en juillet ou octobre 1946.
Un livre qui met en lumière un aspect peu connu de l'incorporation de force dans la Krigsmarine.
Des photos viennent également étayer ce livre fort sur les Lorrains et les Alsaciens du IIIe Reich.
Un livre de réhabilitation.
Le sujet n'a rien d'anecdotique et vient combler un manque historiographique évident annonce François Cochet – professeur à l'Université de Metz. Bien entendu, il est aussi question des Malgré Elles.
Si certains étaient volontaires c'étaient pour choisir la Marine, plutôt que la Wehrmacht, mais avant d'y consentir, ils se cachaient, fuyaient, s'estropiaient, jusqu'à, et vous le savez, y être obligés, sinon la famille subissait des sanctions.
La Krigsmarine (Marine de guerre) avait encore de ses valeurs notamment l'interdiction du salut nazisme et du sauvetage des hommes à la mer après les batailles, malheureusement jusqu'en 1942.
Des témoignages de rescapés ont complété le livre de Jean-Noel Grandhomme et l'on pourrait encore et encore écrire des romans et scénariser leurs vies.
On y lit des atrocités perpétrées aussi bien par les Allemands que par les Russes dans le camp de Tambov, les erreurs de cibles des Américains ou des Anglais ; des résistants et des évadés ; du retour ; de ceux qui ont été attrapés en 8 ou 10 mai 1945 et qui ont été libérés en juillet ou octobre 1946.
Un livre qui met en lumière un aspect peu connu de l'incorporation de force dans la Krigsmarine.
Des photos viennent également étayer ce livre fort sur les Lorrains et les Alsaciens du IIIe Reich.
