Les violons du diable

Au coeur de Paris, se trouve un petit bijou d'église à Saint-Louis-en-l'île.
Une jeune fille au doux prénom de Julie y réside. Cette jeune fille joue au violon avec brio, sa musique dans cette église est une merveille, d'autant plus que ce violon porte le grand nom Italien « stadamus ».
Bien des drames vont se passer dans cette église l'abbé Poidevin est retrouvé assassiné par un enfant de choeur.
Le commandant Pignol du Quai des orfèvres est de permanence ce jour-là, sous les ordres du commissaire Mercier. Il débute une enquête qui entre l'abbé voyeur, la débauche de la jeune fille avec un peintre, une pute et un truand ne sera pas facile surtout pour le commissaire Mercier, car Pignol va lui mettre des bâtons dans les roues.

Jules GRASSET. Les violons su diable.

Ce roman a obtenu le Prix du Quai des Orfèvres en 2005. La médiathèque est fermée et je ne peux me passer de lecture, je puise dans les caisses entreposées au grenier; Et je lis tout ce qui me tombe sous la main.

le curé de la paroisse Saint-Louis-en-l'Ile, proche de la cathédrale Notre-Dame a été assassiné. Cet abbé, aimé de ses paroissiens a-t-il été victime d'un rôdeur ? Julie, une jeune et brillante violoniste joue de la musique dans cette petite église. Est-ce elle qui a tué le prêtre ? Cette jeune fille a été modèle pour un célèbre peintre, assassiné il y a neuf mois.L'énigme de sa mort violente n'a pas été résolue. C'est le commissaire Mercier qui est chargé de l'enquête, et qui va donc tenter de démêler les fils.. Ce roman policier est découpé en séquences. Mais la construction est d'un classicisme usuel pour les polars des époques 1950-1970. Nous ne jouons plus sur les mêmes registres. Il faut davantage de suspense. Ici, au fur et à mesure que nous avançons dans la lecture, le dénouement est cousu de fil rouge. En 2005, il ne devait pas y avoir beaucoup de participants pour la dotation de ce prix. Je crois que je vais renoncer à lire les livres ayant obtenu ce prix. (03/09/2021).
Lien : https://lucette.dutour@orang..

Pas un grand roman noir, une petite série B sans chichis ni prétention. Lue sans déplaisir et oubliée une fois la dernière page refermée.Un bon divertissement sans plus .

Le curé de la paroisse Saint Louis au coeur de Paris a été assassiné . Il vivait chez mme Malgloire , une grenouille de bénitier qui hébergeait également une virtuose du violon jeune fille qui jouait à l'église pour les messes et cérémonies . Comment cette jeune Julie avait-elle pu se procurer un violon stradivarius hors de prix ? le commissaire Mercier en charge de l'affaire découvrira bientôt que Julie entretenait des relations troubles avec le curé , un peintre pour qui elle pose et un gitan qui était son amant .
Lecture agréable mais sans grand suspense