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Critique de Depreading
Camilla Grebe nous emporte dans un nouveau polar scandinave aux saveurs amères. L'histoire commençait bien : une famille recomposée, mariée et heureuse (Samir - Médecin, Yasmin - Fille de Samir et Maria et son fils, Vincent), mais une nouvelle fait tout chambouler. La fille de Samir a disparu. La police conclu hâtivement à un meurtre et suspecte son père d'en être l'auteur, au point qu'elle l'arrête. le bonheur de la famille recomposée s'éteint à petit feu. Toute la communauté y compris la police veut faire porter le chapeau à Samir, en le faisant passer pour un père strict pratiquant la religion musulmane à la lettre. La ville ne voudra plus de lui qu'il soit libre ou en prison. Ainsi, Camilla Grebe nous fait part, tout au long du roman, de deux problèmes sociaux qui existe encore de nos jours : le racisme et les violences faites aux femmes.
Aussi, elle nous donne une bonne leçon de vie : toujours se méfier de l'eau qui dort, c'est-à-dire ne jamais faire confiance aveuglément à quelqu'un, car on ne sait pas de quoi il peut être capable.
Dans ce roman, Camilla Grebe nous fait vivre toutes les émotions et nous étonne toujours quant au déroulement de l'intrigue sous le point de vue des principaux personnages : Yasmin, Maria, Vincent et Gunnar. Ce type de développement nous fait découvrir les ressentis des personnages principaux tout en complétant parfaitement sans grosse redondance les histoires de chacun. Camilla Grebe, malgré un déroulement évident des faits suivant la disparition de Yasmin, va nous surprendre sur le dévoilement progressif de la fin de l'intrigue : elle va nous montrer que le récit précédemment évoqué peut être prévu voire pas totalement anticipé, mais que les risques étaient assumés pour sauver ses proches d'un éventuel coup mortel.
La fin du roman est belle et attendrissante avec de magnifiques retrouvailles qu'on ne pensait pas voir et découvrir au fil de la lecture. La lecture n'était pas ennuyeuse et était fluide avec du suspens de A à Z.
Aussi, elle nous donne une bonne leçon de vie : toujours se méfier de l'eau qui dort, c'est-à-dire ne jamais faire confiance aveuglément à quelqu'un, car on ne sait pas de quoi il peut être capable.
Dans ce roman, Camilla Grebe nous fait vivre toutes les émotions et nous étonne toujours quant au déroulement de l'intrigue sous le point de vue des principaux personnages : Yasmin, Maria, Vincent et Gunnar. Ce type de développement nous fait découvrir les ressentis des personnages principaux tout en complétant parfaitement sans grosse redondance les histoires de chacun. Camilla Grebe, malgré un déroulement évident des faits suivant la disparition de Yasmin, va nous surprendre sur le dévoilement progressif de la fin de l'intrigue : elle va nous montrer que le récit précédemment évoqué peut être prévu voire pas totalement anticipé, mais que les risques étaient assumés pour sauver ses proches d'un éventuel coup mortel.
La fin du roman est belle et attendrissante avec de magnifiques retrouvailles qu'on ne pensait pas voir et découvrir au fil de la lecture. La lecture n'était pas ennuyeuse et était fluide avec du suspens de A à Z.
