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Critique de cascasimir


"On n'oublie rien de rien
On n'oublie rien du tout
On n'oublie rien de rien
On s'habitue, c'est tout."


Juliette utilise le "Je" ou le "Elle" et parle de son enfance, de sa vie et de ses voyages...
"Elle", c'est Jujube!


"La petite fille sort de sa solitude bien chaude... Elle va chercher Oursine, son ours. Il est doux, souple." Jujube a peur...


"Tu es une enfant trouvée, disait la maman à Jujube. Tu es le fruit d'un viol... le viol, se demandait la petite fille, qu'est ce c'est cet arbre?"
Saloperie de mémoire, pense encore Jujube.
"Bulles nauséabondes. Non!"


Un homme blème (un policier français) a arrêté Jujube sa mère et sa soeur, "une formidable paire de claques"... Jujube répond par des gifles, à son tour.


Sa professeure Hélène Duc recueille Jujube, à la sortie de la prison de Fresnes. Jujube va rencontrer Gérard Philippe, "un ange bondissant et rieur", Alice Sapritch "qui lui offre une paire de chaussures à semelle de crêpes. A l'epoque, cela représente une forte somme d'argent"...
Jujube était chaussée de raphia mort, et laissait des traces, comme un chien qui revient de la chasse.


"T'es toute nue,
sous ton pull
Y a la rue qu'est maboul
Jolie môme."
Jujube va découvrir Saint Germain des Prés, la Légende est en marche...


"Il n'y a plus d'après, à Saint Germain des Prés
Plus d'après demain, plus d'après midi
Il n'y a plus qu'aujourd'hui
Il n'y a plus d'après"...
Juliette Gréco, chanson de Guy Béart.
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