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Critique de SuzanneMax
Avec "Carla", Sylvie Grignon nous propose un roman à la fois intime et universel.
Un roman intime, parce qu'à travers ses souvenirs et la lecture des carnets qu'elle a tenus durant des années Carla se dévoile. Elle partage ses joies et ses peines, ses plaisirs et ses doutes, ses colères et ses rires. Son enthousiasme parfois, ses déceptions souvent. Et ses épreuves aussi. Elle y raconte l'amour et l'amitié, la trahison, la maladie, le deuil... Tout ce qui fait une vie, la vie d'une femme qui est un peu chacune de nous. Une femme pour qui le bonheur et l'amour priment finalement sur le reste. Et c'est ce qui nous touche d'abord.
Mais Carla, c'est aussi un roman universel. Parce que le présent de Carla, c'est l'année 2078. Alors, bien sûr, notre monde a pas mal changé. Ce qu'il est devenu, ce que nous dépeint l'auteur, nous renvoie forcément à nos interrogations d'aujourd'hui. Que préparons-nous en ce début de 21ème siècle? Vers quoi nous dirigeons-nous? Que laisserons-nous aux générations futures? Que restera-t-il dans 50 ans du monde que nous connaissons?
Je me garderai bien de dévoiler ici quel univers futur imagine l'auteur. Il faut lire Carla, et prendre conscience de ce que nous sommes, à l'instar du personnage: un individu de passage sur Terre, un être de chair et de sang, d'émotion et de pensée, qui traverse la vie pour le pire et surtout pour le meilleur. Mais aussi un maillon de la chaîne, impliqué dans le devenir du monde.
Sylvie Grignon, dans un style clair et souple, nous fait toucher à ces deux réalités. C'est là la force de "Carla".
Un roman intime, parce qu'à travers ses souvenirs et la lecture des carnets qu'elle a tenus durant des années Carla se dévoile. Elle partage ses joies et ses peines, ses plaisirs et ses doutes, ses colères et ses rires. Son enthousiasme parfois, ses déceptions souvent. Et ses épreuves aussi. Elle y raconte l'amour et l'amitié, la trahison, la maladie, le deuil... Tout ce qui fait une vie, la vie d'une femme qui est un peu chacune de nous. Une femme pour qui le bonheur et l'amour priment finalement sur le reste. Et c'est ce qui nous touche d'abord.
Mais Carla, c'est aussi un roman universel. Parce que le présent de Carla, c'est l'année 2078. Alors, bien sûr, notre monde a pas mal changé. Ce qu'il est devenu, ce que nous dépeint l'auteur, nous renvoie forcément à nos interrogations d'aujourd'hui. Que préparons-nous en ce début de 21ème siècle? Vers quoi nous dirigeons-nous? Que laisserons-nous aux générations futures? Que restera-t-il dans 50 ans du monde que nous connaissons?
Je me garderai bien de dévoiler ici quel univers futur imagine l'auteur. Il faut lire Carla, et prendre conscience de ce que nous sommes, à l'instar du personnage: un individu de passage sur Terre, un être de chair et de sang, d'émotion et de pensée, qui traverse la vie pour le pire et surtout pour le meilleur. Mais aussi un maillon de la chaîne, impliqué dans le devenir du monde.
Sylvie Grignon, dans un style clair et souple, nous fait toucher à ces deux réalités. C'est là la force de "Carla".
