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Critique de slowlife
La plupart des nouvelles se passent en Floride mais la Floride de Lauren Groff est ici une terre sous la menace des ouragans, une jungle humide remplie de créatures dangereuses. L'auteur nous parle des mutations des villes et de la bétonisation des espaces sauvages, malgré que reptiles et autres bêtes sauvages ne soient jamais bien loin.
Ces nouvelles sont des tranches de vie où l'auteure sait capter ces moments où se cristallisent les angoisses de ses personnages, le plus souvent des mères de famille en proie à leurs névroses. Lauren Groff excelle dans la description de ces moments où l'angoisse se fraie un chemin dans notre quotidien remettant en cause une vie paisible.
Seul bémol, la nouvelle " Yport". Non seulement ce texte est inintéressant au possible mais c'est très francophobe, les Français y sont montrés comme des gens tout à fait exécrables, belle illustration de l'arrogance américaine.
Ces nouvelles sont des tranches de vie où l'auteure sait capter ces moments où se cristallisent les angoisses de ses personnages, le plus souvent des mères de famille en proie à leurs névroses. Lauren Groff excelle dans la description de ces moments où l'angoisse se fraie un chemin dans notre quotidien remettant en cause une vie paisible.
Seul bémol, la nouvelle " Yport". Non seulement ce texte est inintéressant au possible mais c'est très francophobe, les Français y sont montrés comme des gens tout à fait exécrables, belle illustration de l'arrogance américaine.
