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Critique de latina
C'est un gros livre, pourtant...et j'adore les gros livres !
C'est un auteur que j'apprécie, pourtant..., moi qui ai adoré « La femme fuyant l'annonce » et « L'enfant zigzag »...
C'est très psychologique, pourtant....
Mais....bouououououououououh ! Je l'ai abandonné à la page 120 !
Oui, j'avoue : j'ai été totalement incapable de m'immerger dans cette flopée de noms propres, de phrases poétiques, tellement poétiques qu'elles en étaient incompréhensibles. J'étais de bonne composition, pourtant : j'avais retranscrit les noms propres rencontrés dans les premiers chapitres pour essayer de comprendre leurs liens...
Il y a quelque chose qui coince dans ma caboche, c'est indéniable !
J'ai cru comprendre qu'il s'agissait de la guerre, comme dans ‘Une femme fuyant l'annonce', donc le conflit israélo-palestinien...qui pour moi, est tout à fait secondaire dans un roman. Si je lis Grossman, c'est parce qu'il excelle dans la description des émotions, des pensées intimes, des gestes de tous les jours, le tout dans l'horreur de la guerre.
Bon, trêve de bavardage...Je voudrais juste qu'on me remonte le moral en me disant que je ne dois pas abandonner cet auteur que j'aimais...., qu'il y a encore tant d'autres romans de lui qui pourraient m'émerveiller...
C'est un auteur que j'apprécie, pourtant..., moi qui ai adoré « La femme fuyant l'annonce » et « L'enfant zigzag »...
C'est très psychologique, pourtant....
Mais....bouououououououououh ! Je l'ai abandonné à la page 120 !
Oui, j'avoue : j'ai été totalement incapable de m'immerger dans cette flopée de noms propres, de phrases poétiques, tellement poétiques qu'elles en étaient incompréhensibles. J'étais de bonne composition, pourtant : j'avais retranscrit les noms propres rencontrés dans les premiers chapitres pour essayer de comprendre leurs liens...
Il y a quelque chose qui coince dans ma caboche, c'est indéniable !
J'ai cru comprendre qu'il s'agissait de la guerre, comme dans ‘Une femme fuyant l'annonce', donc le conflit israélo-palestinien...qui pour moi, est tout à fait secondaire dans un roman. Si je lis Grossman, c'est parce qu'il excelle dans la description des émotions, des pensées intimes, des gestes de tous les jours, le tout dans l'horreur de la guerre.
Bon, trêve de bavardage...Je voudrais juste qu'on me remonte le moral en me disant que je ne dois pas abandonner cet auteur que j'aimais...., qu'il y a encore tant d'autres romans de lui qui pourraient m'émerveiller...
