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Critique de sultanne


Un homme.
Une femme.
Un zizi entre eux deux et leur fils psychiatre.
Aucun ne va sans les autres, chacun vit à travers l'autre.

Avec ce quatuor, Arnon Grunberg revisite le cliché de la mère juive, qu'il confond un peu trop souvent à mon goût avec celui la mère castratrice, à moins que, dans ce huis-clos qui n'a ni queue ni tête, ce ne soit le père la figure castratrice...

Un récit fantaisiste, aux accents burlesques, durant lequel les interrogations sur l'amour filial et la monotonie des pages qui tournent ont failli me faire sombrer à plusieurs reprises dans un sommeil des plus profonds...

Il y a un public, j'en suis certaine, pour ce genre de roman qui coupe les cheveux en quatre et tourne en rond jusqu'à plus soif. Pour ma part, je n'ai pas adhéré à la narration farfelue, je n'ai pas accroché à l'univers déconnecté de la réalité, je n'ai pas compris où l'auteur voulait en venir avec cette histoire loufoque... je reste perplexe.
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