Un conte traditionnel azeri qui nous conte avec malice comment la ruse et l'intelligence peuvent être utilisées pour faire le bien comme pour faire le mal.
En dehors du titre, la construction du récit rappelle bien sûr les Mille et une nuits. Et la morale indique aussi que le mal revient toujours à celui qui le fait surtout lorsqu'il est trop sûr de lui et n'a pas de vision à long terme.
J'ai passé un bon moment avec cette histoire, ses rebondissements et ses répétitions et les illustrations ocres qui évoquent les steppes d'Azerbaïdjan.
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