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Critique de diamelee
En période de canicule, la priorité pour tout le monde est de faire le moindre effort possible. Tout effort est fait pour se rapprocher d'un endroit frais ou d'un point d'eau fraiche. Cependant, il y en a qui font fi de la chaleur et sont très actifs. C'est le cas de cet assassin qui a décidé de faire parler de lui en ôtant la vie à des personnalités. le commandant Marion Métayer et son équipe sont sur le pied de guerre. Il devient urgent de retrouver ce ou ces assassins.
La canicule épuise tout le monde. Même les animaux et les insectes. Malheureusement, pas l'assassin. Il est calme, précis, insensible à tout ce qui l'entoure. Son but est précis, réfléchi et son plan est bien préparé. Y aura t-il ce fameux grain de sable qui enrayera la machine? le commandant Métayer se trouve face à un puzzle complexe qu'elle doit reconstituer pièce par pièce. Des pièces difficiles à trouver du fait de la personnalité des victimes et des pressions subies par la hiérarchie. Avec ses partenaires, Marion n'est pas encline à marcher sur des oeufs. Au contraire.
A travers une écriture claire, incisive, l'auteur nous décrit avec précision les coulisses et les hautes sphères de l'administration policière. Il faut dire qu'il connait le milieu sur le bout des doigts pour y avoir évolué professionnellement. le roman nous tient en haleine par les meurtres de plus en plus sadiques. Il est dit que la vengeance est un plat qui se mange froid. En période de canicule, c'est plutôt un plat qui se mange bouillant. le génie de l'auteur est qu'il a su décrire des meurtres d'un grand sadisme sans que le lecteur ne ressente du dégoût ou de l'horreur. Ce qui démontre une grande maîtrise de l'écriture. C'est un thriller psychologique car le lecteur se trouve enfermé dans la tête de l'assassin et le voit agir. Il suit les différentes étapes de la mise à mort de la victime. Il « voit » le meurtre en direct et n'a qu'un envie: hurler « Au secours, arrêtez-le« . « S'il vous plaît« .
La canicule épuise tout le monde. Même les animaux et les insectes. Malheureusement, pas l'assassin. Il est calme, précis, insensible à tout ce qui l'entoure. Son but est précis, réfléchi et son plan est bien préparé. Y aura t-il ce fameux grain de sable qui enrayera la machine? le commandant Métayer se trouve face à un puzzle complexe qu'elle doit reconstituer pièce par pièce. Des pièces difficiles à trouver du fait de la personnalité des victimes et des pressions subies par la hiérarchie. Avec ses partenaires, Marion n'est pas encline à marcher sur des oeufs. Au contraire.
A travers une écriture claire, incisive, l'auteur nous décrit avec précision les coulisses et les hautes sphères de l'administration policière. Il faut dire qu'il connait le milieu sur le bout des doigts pour y avoir évolué professionnellement. le roman nous tient en haleine par les meurtres de plus en plus sadiques. Il est dit que la vengeance est un plat qui se mange froid. En période de canicule, c'est plutôt un plat qui se mange bouillant. le génie de l'auteur est qu'il a su décrire des meurtres d'un grand sadisme sans que le lecteur ne ressente du dégoût ou de l'horreur. Ce qui démontre une grande maîtrise de l'écriture. C'est un thriller psychologique car le lecteur se trouve enfermé dans la tête de l'assassin et le voit agir. Il suit les différentes étapes de la mise à mort de la victime. Il « voit » le meurtre en direct et n'a qu'un envie: hurler « Au secours, arrêtez-le« . « S'il vous plaît« .
