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Critique de Varaha
De nouveau un roman difficile à déposer une fois commencé !
Au début, j'étais un peu perplexe d'avoir affaire à trois narrateurs différents : le premier vivant pendant les atrocités de la deuxième guerre mondiale, le second vivant à l'époque actuelle et le dernier paraissant hors du temps...
Chacun ayant son style et sa personnalité propre :
« A chacun son dû. Suum cuique. Comme si ces hommes au seuil de la mort pouvaient partager l'ironie de cette pause philosophique, songea Erich. »
« Dieu qu'il était agréable de sentir sans penser. Comme si son cerveau s'était câblé en mode mâle. »
« « Lorsqu'un homme est fatigué de Londres, c'est qu'il est fatigué de la vie. » »
Petit à petit, l'histoire se construit et devient de plus en plus happante, jusqu'à un dénouement logique mais néanmoins surprenant.
Le style est agréable à lire, avec un vocabulaire adapté aux diverses situations et des tournures juste assez prenantes pour nous garder en haleine sans que cela ne paraisse surchargé de mots techniques.
Une remarque néanmoins, le texte comporte certains passages en langues étrangères (suédois, allemand et anglais) qui ne sont pas traduits en bas de page. Ce n'est pas trop dérangeant car le sens de ces phrases est implicite dans le contexte.
Et comme tout bon thriller, la fin nous réserve quelques surprises de choix...
Dans le cadre du multi défi Babélio, je propose ce thriller pour la catégorie 13. Un thriller ou un polar historique.
Au début, j'étais un peu perplexe d'avoir affaire à trois narrateurs différents : le premier vivant pendant les atrocités de la deuxième guerre mondiale, le second vivant à l'époque actuelle et le dernier paraissant hors du temps...
Chacun ayant son style et sa personnalité propre :
« A chacun son dû. Suum cuique. Comme si ces hommes au seuil de la mort pouvaient partager l'ironie de cette pause philosophique, songea Erich. »
« Dieu qu'il était agréable de sentir sans penser. Comme si son cerveau s'était câblé en mode mâle. »
« « Lorsqu'un homme est fatigué de Londres, c'est qu'il est fatigué de la vie. » »
Petit à petit, l'histoire se construit et devient de plus en plus happante, jusqu'à un dénouement logique mais néanmoins surprenant.
Le style est agréable à lire, avec un vocabulaire adapté aux diverses situations et des tournures juste assez prenantes pour nous garder en haleine sans que cela ne paraisse surchargé de mots techniques.
Une remarque néanmoins, le texte comporte certains passages en langues étrangères (suédois, allemand et anglais) qui ne sont pas traduits en bas de page. Ce n'est pas trop dérangeant car le sens de ces phrases est implicite dans le contexte.
Et comme tout bon thriller, la fin nous réserve quelques surprises de choix...
Dans le cadre du multi défi Babélio, je propose ce thriller pour la catégorie 13. Un thriller ou un polar historique.
