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Critique de LoupAlunettes
L'amour est chien de bohème, qui n'a jamais connu de lois.
Son coeur gros, résonnant tant qu'on pourrait croire qu'au fond de sa poubelle s'y cache un tambour, Chien Pourri se désespère.
Les leçons du manuel de séduction du grand Jean Love peine à le révéler aux verres de lunettes de la jolie star Sanchichi. Mais pourquoi ne le voit-elle pas? Pourquoi ne sent-elle pas l'amour?
Le fond de sa poubelle est de meilleure fraîcheur pourtant!?
Foi de Chien Pourri, le canin va mettre les boulettes doubles pour conquérir sa belle. le manuel dit que les preux chevaliers arrivaient à conquérir les princesses en les enlevant. Et bien qu'il en soit ainsi! Notre preux à puce a justement un bon sac poubelle.
: Notre Chien Pourri est amoureux! Il compte comme il le dit lui même sur sa passion plus que son intelligence pour mener à terme sa nouvelle aventure. Nous, lecteurs, comptons un peu sur sa bêtise, délicieux fond de commerce de la série, pour nous faire pouffer de rire en tournant les pages.
"L'amour est une chienne"! Attention, que l'on ne se méprenne pas les histoires d'amour peuvent être compliquées et infructueuses mais il s'agit là du titre du roman à l'eau de rose ( cela sent bien meilleur que la poubelle!) qu'offre le grand maitre de l'Amour à Chien Pourri, le nommé Jean Love. Techniquement, l'amour de notre sac à puce est aussi chienne, une star de chanson qui elle-même attend son prince charmant. Malheureusement, même avec ses énormes lunettes, la pauvre Sanchichi ne reconnaîtrait pas l'amour en le voyant passer. Chien Pourri va bien évidement l'orienter de sa singulière manière de gaffeur en série.
L'humour de ce tome reste égal aux autres, à plusieurs degrés pour plusieurs publics et plusieurs natures, tantôt léger, tantôt caustique. Les leçons de séduction qui ponctuent chaque début de chapitre nous font bien rire, soutenues par les excellentes illustrations de Marc Boutavant. Évidement, Chien Pourri prendra tout de travers ou au pied de la lettre et cela reste le bon sel de la série, un ressort qui ne grippe pas encore et fonctionne bien. Colas Gutman continue de glisser l'air de rien des petites références culturelles qui feront sourire les grands passeurs de livres soutenant les débutants.
Sanchichi la "chichiteuse" rêve de son beau caniche tandis que les éternels rivaux à belles franges de nos héros ( et oui, il y a toujours Chaplapla, le copain à la tête écrasée!) la dédaignent sans scrupules. L'amour est dans la prunelle du chien qui regarde. Chien Pourri est aux abois. Pourvu qu'elle le voit...Peut-être que sans les lunettes...!?
Son coeur gros, résonnant tant qu'on pourrait croire qu'au fond de sa poubelle s'y cache un tambour, Chien Pourri se désespère.
Les leçons du manuel de séduction du grand Jean Love peine à le révéler aux verres de lunettes de la jolie star Sanchichi. Mais pourquoi ne le voit-elle pas? Pourquoi ne sent-elle pas l'amour?
Le fond de sa poubelle est de meilleure fraîcheur pourtant!?
Foi de Chien Pourri, le canin va mettre les boulettes doubles pour conquérir sa belle. le manuel dit que les preux chevaliers arrivaient à conquérir les princesses en les enlevant. Et bien qu'il en soit ainsi! Notre preux à puce a justement un bon sac poubelle.
: Notre Chien Pourri est amoureux! Il compte comme il le dit lui même sur sa passion plus que son intelligence pour mener à terme sa nouvelle aventure. Nous, lecteurs, comptons un peu sur sa bêtise, délicieux fond de commerce de la série, pour nous faire pouffer de rire en tournant les pages.
"L'amour est une chienne"! Attention, que l'on ne se méprenne pas les histoires d'amour peuvent être compliquées et infructueuses mais il s'agit là du titre du roman à l'eau de rose ( cela sent bien meilleur que la poubelle!) qu'offre le grand maitre de l'Amour à Chien Pourri, le nommé Jean Love. Techniquement, l'amour de notre sac à puce est aussi chienne, une star de chanson qui elle-même attend son prince charmant. Malheureusement, même avec ses énormes lunettes, la pauvre Sanchichi ne reconnaîtrait pas l'amour en le voyant passer. Chien Pourri va bien évidement l'orienter de sa singulière manière de gaffeur en série.
L'humour de ce tome reste égal aux autres, à plusieurs degrés pour plusieurs publics et plusieurs natures, tantôt léger, tantôt caustique. Les leçons de séduction qui ponctuent chaque début de chapitre nous font bien rire, soutenues par les excellentes illustrations de Marc Boutavant. Évidement, Chien Pourri prendra tout de travers ou au pied de la lettre et cela reste le bon sel de la série, un ressort qui ne grippe pas encore et fonctionne bien. Colas Gutman continue de glisser l'air de rien des petites références culturelles qui feront sourire les grands passeurs de livres soutenant les débutants.
Sanchichi la "chichiteuse" rêve de son beau caniche tandis que les éternels rivaux à belles franges de nos héros ( et oui, il y a toujours Chaplapla, le copain à la tête écrasée!) la dédaignent sans scrupules. L'amour est dans la prunelle du chien qui regarde. Chien Pourri est aux abois. Pourvu qu'elle le voit...Peut-être que sans les lunettes...!?
