Citations sur Le chemin sauvage (5)
J'attendais le jour où mes parents m'offriraient une montre; je ne savais pas qu'en fermant le bracelet, que je rêvais d'acier, autour du poignet, on se menottait au temps et qu'il ne relâchait jamais personne. (p.31)
Et, pour la première fois depuis longtemps, quand il s'est éloigné en moi, son départ n'a pas été une blessure qui se rouvrait. (p. 50)
Je me souvenais que, l'été précédent, elle marchait devant moi. Mais aujourd'hui, j'avais beau me souvenir d'elle, je ne la voyais pas. (p.183)
Les livres sentent l'encre et la lumière (...), les livres sentent le pain. Lire encore quelques phrases. (p.133)
Les Russes étaient prisonniers dans des camps, en Allemagne, ils avaient faim, les nazis les traitaient comme des bêtes et Staline les méprisait comme des lâches, des traîtres qui ne s’étaient pas battus jusqu’au bout.
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En 1941, cette immense écrivaine, pensant devenir folle, va se jeter dans une rivière les poches pleine de pierres. Avant de mourir, elle écrit à son mari une lettre où elle dit prendre la meilleure décision qui soit.
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